Le gouvernement bruxellois affecte 55 millions à la sécurité et la prévention

Police-Fédérale

Le gouvernement bruxellois affecte 55 millions à la sécurité et la prévention

communiqué de presse

6 novembre 2014

Le Gouvernement bruxellois de Rudi Vervoort a décidé ce 6 novembre de l’affectation des moyens relevant du Fonds Sommets Européens. Depuis l’année 2012, la Région de Bruxelles-Capitale se prononce annuellement sur l’affectation de 55 millions € destinés à financer des dépenses de sécurité et de prévention en lien avec la fonction de capitale nationale et internationale de Bruxelles.

Par cette décision, le Gouvernement entend garantir la stabilité des projets et assumer les décisions qui ont été prises notamment dans le cadre du renforcement des effectifs policiers affectés à la sécurisation des transports.
« Nous finançons aujourd’hui les 250 policiers qui seront en charge de la sécurité dans les transports publics bruxellois » a déclaré Rudi Vervoort.
Cette décision doit ensuite être soumise pour avis aux membres fédéraux du Comité de coopération visés à l’article 43 de la loi spéciale du 12 janvier 1989 relative aux Institutions bruxelloises.

Dans ce contexte, la Région espère pouvoir compter sur la pleine collaboration des autorités fédérales afin que la totalité de ces moyens budgétaires, d’une importance capitale tant pour les communes que pour les services de police, soient liquidés en 2014 à la Région Bruxelles-Capitale.
« Cette décision s’inscrit dans l’exercice des nouvelles compétences en matière de prévention et de sécurité et que la récente réforme confie à la Région Bruxelloise. Il va de soi que je resterai attaché à ce que nos services de sécurité et de prévention au sein de nos communes, bénéficient des moyens adéquats et justes, dans le cadre de ce rôle de coordination et de relai vis-à-vis du fédéral » a conclu le Ministre-Président Rudi Vervoort.

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Conclusions du 1er Sommet Social Extraordinaire : lancement de la stratégie 2025

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Conclusions du 1er Sommet Social Extraordinaire : lancement de la stratégie 2025

communiqué de presse

10 octobre 2014

Dans son Accord de Majorité, le Gouvernement a réaffirmé l’impérieuse nécessité d’une concertation sociale forte, reposant sur un dialogue social constant entre les partenaires sociaux et le Gouvernement. C’est pourquoi, à l’initiative du Ministre-Président et du Ministre de l’Economie et de l’Emploi, un premier Sommet Social Extraordinaire s’est tenu ce vendredi 10 octobre, réunissant l’ensemble des membres du Gouvernement et les membres du Conseil Economique et Social.

Le bilan des actions menées lors du Précédent Sommet Social de mai 2013 a mis en avant l’effet positif de la méthode. Déterminer, de commun accord avec les acteurs socio-économiques, les priorités à mettre en œuvre, assorties d’objectifs concrets, de moyens identifiés, accompagnés d’un échéancier clairement établi. Ce premier SSE avait alors donné lieu à la réalisation de nombreuses priorités, telles que le lancement de la Garantie pour la Jeunesse, le Plan d’action « Bruxellois dans la Fonction publique » ou encore le plan pluriannuel de formation.

Bruxelles est à un tournant de son histoire. 25 ans après sa naissance, notre Région est face à de nouvelles compétences, et de défis colossaux à relever. C’est pourquoi lors de ce Sommet Social Extraordinaire, le Gouvernement et les acteurs économiques et sociaux, se sont engagés à redynamiser l’économie bruxelloise, à travers une stratégie à l’horizon 2025.

Cette Stratégie se décline en deux axes majeurs :

L’axe Economie-Emploi fera de Bruxelles la Capitale belge et européenne de l’esprit d’entreprendre et de l’innovation.

L’axe Emploi-Formation s’attaquera au paradoxe de l’économie bruxelloise qui fait de Bruxelles la Région la plus riche du Royaume, mais avec un taux de chômage de sa population insupportable.

D’ici la fin de l’année, l’élaboration des deux axes de cette Stratégie fera l’objet d’une concertation préalable des acteurs concernés, notamment au sein d’une nouvelle Task Force opérationnelle regroupant les acteurs de l’Emploi, de la Formation, de l’Enseignement et les Entreprises, en vue de son adoption par l’organe de Concertation tripartite de la Région, le Comité Bruxellois de Concertation Economique et Sociale, lequel sera élargi aux commissions communautaires lorsque les domaines traités le nécessitent.

Ces deux grands axes seront ensuite traduits dans des priorités annuelles déterminées par le Gouvernement et les partenaires sociaux lors d’un Sommet Social précédant chaque rentrée parlementaire.

Le Premier Sommet d’aujourd’hui a donc non seulement acté le lancement de cette Stratégie 2025, mais a également déterminé la feuille de route des chantiers prioritaires à mener dans le cadre cette première année de législature.

Relevons notamment les priorités suivantes:

– La rationalisation des missions des différents organismes actifs en matière d’économie et la création d’un guichet unique de service et de soutien aux entreprises ;

– L’adoption d’un Small Business Act en vue de développer une administration orientée vers les PME et TPE ;

– La refonte de la législation relative aux aides économiques en vue de les conditionner à l’emploi et à l’accueil des stagiaires ;

– Le développement d’un package entrepreneurial de soutien aux PME et TPE (mise à disposition de locaux, bourses de démarrage, accès à des crédits, accompagnement personnalisé…) ;

– L’adoption d’une Alliance Emploi-Formation assortie d’objectifs chiffrés pluriannuels notamment en termes de taux de création d’emploi, de nombre d’accompagnements, de formations, de mises à l’emploi et de stages (FPI, stages de transition, stages en alternance…) ;

– La poursuite de la mise en œuvre de la Garantie pour la jeunesse avec la mise en place d’un « Contrat d’Insertion » de 12 mois à temps plein au sein des entreprises aussi bien publiques que privées afin d’offrir une première expérience de travail de qualité aux demandeurs d’emploi de moins de 25 ans n’ayant jamais trouvé d’emploi malgré leurs efforts depuis 18 mois ;

– Le développement d’un cadre unique de stages pour la Région, en vue d’en augmenter le nombre et la qualité ;

– Le développement d’un nouveau modèle de politique d’activation afin de réorienter les moyens prioritairement vers l’emploi des jeunes chômeurs bruxellois, les chômeurs de longue durée et les personnes infra-qualifiées ;

– Réformer la politique ACS et établir des synergies avec les moyens de la Garantie Jeunes et la politique d’activation afin de créer des emplois durables ;

– Le développement d’un nouveau cadre pour les « Titres-Services » afin d’orienter ce dispositif vers les personnes peu qualifiées et les chercheurs d’emploi de longue durée.

C’est donc une année chargée qui attend le Gouvernement et les partenaires sociaux. Conformément à la méthode souhaitée par le Gouvernement, le suivi de l’avancée des travaux se fera de manière régulière, sur base d’indicateurs précis, au sein du Comité Bruxellois de Concertation Economique et Sociale.

« Ce Premier Sommet Social est un moment important de cette législature. Les membres du Gouvernement et les interlocuteurs sociaux se sont engagés dans une stratégie prospective sur 10 ans afin de redonner un nouveau dynamisme économique à notre Région. Les réformes qui seront menées seront coordonnées et suivies de manière régulière par les membres du Comité Bruxellois de Concertation Economique et Social, l’organe de concertation tripartite de la Région. C’est un grand pas dans le développement du dialogue social bruxellois, mais également dans la réalisation des objectifs socio-économiques de notre Accord de Majorité. » a déclaré le Ministre-Président Rudi Vervoort a l’issue de la réunion.

« Le travail qui nous attend est gigantesque. Sa réussite ne sera possible que grâce à l’implication de toutes les forces vives. Mais elle sera également conditionnée par le réinvestissement dans le capital humain, véritable facteur de réussite en Région bruxelloise » a ajouté Didier Gosuin, Ministre Ministre de l’Economie et de l’Emploi.

Rendez-vous est donc d’ores et déjà pris en décembre, pour l’Adoption du texte complet de la Stratégie 2025 et ses deux axes majeurs, ainsi que le premier état d’avancement des priorités décidées aujourd’hui.

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Un premier projet pilote de distribution urbaine intelligente pour Bruxelles !

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Un premier projet pilote de distribution urbaine intelligente pour Bruxelles !

communiqué de presse

10 octobre 2014

La Région de Bruxelles-Capitale lance avec le consortium dirigé par CityDepot et TRI-VIZOR un projet pilote qui garantit un approvisionnement flexible, efficace et durable des commerçants locaux et soulage les quartiers de la nuisance liée aux poids lourds. « On peut parler de win-win ! », déclarent le Ministre-Président Rudi Vervoort et le Ministre de la Mobilité Pascal Smet.  « Moins de camions, cela signifie moins d’embouteillages. La qualité de vie des Bruxellois sera dès lors améliorée, pendant que les commerçants participants pourront quant à eux bénéficier de gains d’efficacité. »

Les impulsions pour une distribution urbaine intelligente dans la Région de Bruxelles-Capitale ont été données par le projet européen LaMiLo (Last Mile Logistics), qui vise une distribution efficace et durable des marchandises dans les villes.
En partie financé par le Fonds européen de développement régional, LaMiLo réunit des experts issus de tous les secteurs du transport de marchandises pour modifier le comportement des entreprises, du secteur public et des consommateurs, visant la durabilité et l’efficacité de distribution urbaine.

« Le dit ‘Last Mile’, le dernier kilomètre du transport de marchandises vers leur destination, fera la différence » a déclaré le Ministre bruxellois de la mobilité et des travaux publics, Pascal Smet. « Si nous réussissons à conjuguer les efforts et à réduire le nombre de livraisons en centre-ville effectuées par des poids lourds, nous pourrons diminuer la congestion routière ainsi que la pollution atmosphérique. En plus, la qualité de vie urbaine sera fortement améliorée. »

« Organiser une livraison de marchandises efficace et durable dans notre Région est indispensable pour améliorer la qualité du cadre de vie des Bruxellois. L’augmentation du trafic de marchandises par la voie d’eau, la concentration des activités logistiques sur le site de Schaerbeek-formation et l’implantation stratégique de centres de distribution urbaine sont autant de leviers pour redéfinir le transport intelligent de marchandises au niveau régional. Le projet LaMiLo constitue un pas dans la bonne direction » a ajouté le Ministre-Président de la Région de Bruxelles-Capitale, Rudi Vervoort.

CityDepot, qui fonctionne depuis mars 2012 à Hasselt, propose un modèle de distribution d’avant-garde dans différentes villes belges. « Nous nous servons de notre expérience, en partenariat avec les pouvoirs locaux et les commerçants, pour lancer un parcours encadré vers une distribution urbaine intelligente, » explique Marc Schepers, le directeur de CityDepot.

En réceptionnant les marchandises au nom des commerçants, en les livrant au besoin de ceux-ci et en centralisant les points de livraison sur un seul site, le projet LaMiLo offre donc un système sécurisé, durable et sur mesure, avantageux tant pour les commerçants, pour les pouvoirs locaux que pour la Région.

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DEVENEZ .brussels !

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DEVENEZ .brussels !

communiqué de presse

8 octobre 2014

La Région de Bruxelles-Capitale possède désormais son extension sur Internet : « .brussels ».

Cette innovation constitue la dernière phase d’un vaste projet initié au début de l’année 2012, visant à doter la Région d’une nouvelle image, fondée sur une marque multilingue, déclinable aussi bien à l’international qu’auprès de tous acteurs de la Région : be.brussels. Désormais, cette marque se décline aussi en un site internet : www.be.brussels

« Je suis fier, parce que la Région fait aujourd’hui figure de précurseur sur le net. .brussels est une nouvelle manière de rayonner sur toutes les plateformes numériques. Grâce à .brussels, la signature numérique de la Région et sa marque sont désormais identiques, ce qui renforce considérablement notre identité » a déclaré le Ministre-Président Rudi VERVOORT.

Vous aussi devenez .brussels

Choisir .brussels, c’est affirmer une appartenance, une fierté de vivre, de travailler à Bruxelles. Pour une entreprise comme pour un particulier, c’est faire coïncider son identité numérique à son cadre géographique, en référence à son lieu d’activités, à son cadre de vie.

Capitale de l’Europe, siège d’innombrables institutions internationales, Bruxelles est une marque de notoriété mondiale. S’afficher en tant que .brussels pour un acteur économique ou institutionnel, c’est bénéficier immédiatement de la renommée de Bruxelles, où que ce soit dans le monde.

Guy VANHENGEL, Ministre du Gouvernement de la Région Bruxelles-Capitale chargé des Finances, du Budget, des Relations extérieures et de la Coopération au Développement :
« Posséder une adresse internet qui finit par « .brussels » équivaut à aimer le cosmopolitisme, le multilinguisme, la diversité, l’ouverture, le relativisme, l’humour, l’artistique, le sport. « Brussels » représente un nom de marque fort. Le plus fort du pays. L’utilisation de l’anglais renvoie au statut de capitale européenne, « Brussels, Capital of Europe » et nous place sur la carte mondiale, comme il se doit de l’être. »

be.brussels, à la fois la marque et l’adresse numérique de la Région

A partir de ce jour, www.be.brussels devient la porte d’entrée numérique de la Région, en donnant accès sur Internet au site portail régional qui offre un large éventail d’informations destinées tant aux habitants qu’à tous ceux qui travaillent en Région, mais également aux personnes qui envisagent de visiter ou de s’établir à Bruxelles.

Les principaux acteurs et partenaires de la Région ayant rejoint la marque régionale, comme par exemple la STIB, Bruxelles-Propreté, Actiris, Bruxelles Environnement, VisitBrussels, voient également leur nouvelle dénomination se transformer désormais en adresse internet .brussels.

Bianca DEBAETS, Secrétaire d’Etat de la Région Bruxelloise,  compétente notamment pour l’Informatique et la Transition numérique:
« Cela nous offre une image forte qui traduit bien notre ambition de transformer Bruxelles en “Smart City”. Une nouvelle appellation symbolisant l’innovation digitale, la créativité numérique et plus largement l’écosystème digital bruxellois qui représentent des leviers importants dans le développement de notre Région. Grâce à la notoriété de notre capitale, « .brussels » sera certainement une belle plus-value pour toutes celles et ceux qui voudront s’en prévaloir sur le Net »

Le processus de lancement de « .brussels »

Jouissant d’une concession portant sur l’enregistrement de l’extension internet .brussels auprès de l’ICANN, DNS Belgium, le partenaire privé de la Région, gère le lancement du nouveau nom de domaine qui comprend plusieurs phases successives :

1.   Au cours du mois de septembre 2014, les entreprises détentrices d’une marque ont bénéficié d’une période d’enregistrement privilégiée d’un mois.

2.   Dans la deuxième phase, les organismes publics, organisations et entreprises établis en Belgique peuvent enregistrer leur nom de domaine .brussels. Cette période s’étend du 2 octobre 2014 au 3 novembre 2014.

3.   Dès le 13 novembre 2014 et jusqu’au 15 décembre 2014, les particuliers pourront enregistrer leur nom de domaine .brussels à prix très démocratique et à condition qu’ils soient en possession d’une carte d’identité électronique valide.

4.   Ensuite, la quatrième phase, le « Landrush », s’étendra du 16 décembre 2014 au 15 janvier 2015. Chaque entreprise ou particulier pourra alors enregistrer le nom de domaine de son choix!

5.   Enfin, à partir du 16 janvier 2015 tout le monde pourra enregistrer un nom de domaine .brussels, qui sera attribué selon le principe du « premier arrivé, premier servi ».

Philip Du Bois, General Manager, DNS Belgium :
« Nous sommes heureux et fiers chez DNS Belgium de pouvoir gérer la nouvelle extension .brussels. Nous bénéficions déjà d’une longue expérience dans la gestion d’un ccTLD (country code Top Level Domain), à savoir le domaine de premier niveau national .be. La création d’une nouvelle extension nous offre la possibilité de mener une innovation dans l’utilisation des noms de domaine. Ceci s’inscrit parfaitement dans notre mission qui est de rendre l’internet accessible à tous et d’encourager son utilisation. »

Comment devenir .brussels ?

Dès aujourd’hui, un site web explicatif et interactif est accessible à tous ceux, entreprises ou particuliers, qui souhaitent savoir comment enregistrer leur nom de domaine .brussels. Pour y accéder, il suffit de se rendre à l’adresse www.be.brussels.

La Région mènera, en collaboration avec DNS Belgium, une campagne de promotion de sa nouvelle extension .brussels. Dans un premier temps sur le web, en particulier sur Facebook et sur les sites des principaux quotidiens et ensuite en radio et en affichage.

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Journées du Patrimoine en Région de Bruxelles-Capitale 20 et 21 septembre 2014

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Journées du Patrimoine en Région de Bruxelles-Capitale 20 et 21 septembre 2014

communiqué de presse

21 septembre 2014

Le week-end des Journées du Patrimoine est devenu le rendez-vous incontournable de la rentrée pour des milliers de visiteurs, qu’ils soient Bruxellois, Wallons, Flamands ou étrangers. Cet événement permet chaque année, de découvrir la Région sous un autre regard, d’apprécier des endroits ou des styles méconnus ou encore d’entrer dans des lieux habituellement peu accessibles.

La 26e édition avait pour thème « Histoire et mémoire » et regroupait pas moins de 98 lieux et une centaine d’activités rappelant la petite ou la grande histoire de notre Capitale.

Bâtiments témoins d’événements historiques importants, lieux de séjour de personnages marquants, d’artistes connus, d’écrivains ou de philosophes et d’accueil d’associations historiques, institutions muséales consacrées à l’histoire… ouvraient donc leurs portes ce week-end !

Parmi les lieux les plus visités, notons, entre autres, les lieux de décisions comme :

  • le Palais d’Egmont (près de 2.800 visites en deux jours)

  • le Palais de la Nation (près de 1.500 visiteurs en une journée)

  • le Parlement bruxellois (entre 1.300 et 1.500 personnes le dimanche)

  • le Parlement européen (plus de 3.000 personnes en un week-end)

  • le Val Duchesse (plus de 2.000 visites en deux jours)

Mais aussi des lieux où séjournèrent des personnalités marquantes, des artistes connus, des écrivains ou philosophes célèbres :

  • l’atelier Marcel Hastir (plus de 400 visites en deux jours)

  • le musée Constantin Meunier (plus de 500 visiteurs en deux jours)

  • l’hôtel Ciamberlani (650 visites seulement le samedi)

  • le Musée Charlier (350 visiteurs en deux jours)

  • le Musée van Buuren (400 visiteurs en deux matinées)

Ou encore les lieux témoins d’événements historiques importants :

  • La Monnaie (près de 2.000 personnes en une seule journée)

  • l’église Saint-Jacques-sur-Coudenberg (plus de 3.000 visiteurs pendant le week-end)

  • la Basilique nationale du Sacré-Cœur de Koekelberg (plus de 750 visiteurs en un après-midi)

Les institutions scientifiques et muséales ont également remporté un vif succès auprès des visiteurs :

  • la Bibliothèque royale de Belgique (près 800 personnes pendant le week-end)

  • l’Institut royal du Patrimoine artistique (près de 500 visiteurs le dimanche)

  • la Bibliothèque scientifique de la Banque nationale de Belgique (près de 1.000 visites en deux jours)

  • le Centre d’études et de documentation « Guerres et sociétés contemporaines »/Direction générale victimes de la guerre (environ 300 personnes en une journée)

  • le Musées royal de l’Armée et de l’Histoire militaire (plus de 2.000 personnes pendant le week-end)

  • le Musée du Cinquantenaire (près de 1.000 visiteurs en deux jours)

  • le Musée de la Ville de Bruxelles (plus de 3.500 visiteurs en deux jours)

  • le Palais du Coudenberg (plus de 1.500 visiteurs pendant le week-end)

Sans oublier les lieux plus rarement accessibles comme :

  • le Pavillon Horta-Lambeaux (plus de 5.000 visiteurs en deux jours)

  • le Palais des Académies (1.000 personnes en une journée)

  • la crypte de la place des Martyrs (plus de 1.200 personnes en deux jours)

  • le siège de la société BNP Paribas Fortis (près de 1.000 visites uniquement le dimanche)

  • le siège de la Société royale de Philanthropie (près de 500 visiteurs pour le week-end)

D’autres chiffres sont également éloquents :

  • la maison Pelgrims (près de 1.000 personnes pendant le week-end)

  • la Chapelle protestante (plus de 600 personnes le dimanche après-midi)

  • l’École royale militaire (1.000 visiteurs en une journée)

Le public était également nombreux à prendre part aux différentes animations proposées, notamment dans les cimetières ou à la découverte des nombreux monuments commémoratifs de notre Région.

Le point d’information des Halles Saint-Géry, quant à lui, n’a pas désempli du matin au soir (des centaines de personnes pendant le week-end). Il accueillait en effet de nombreuses activités dont le marché aux livres de la Direction des Monuments et des Sites et l’exposition « Bruxelles. 1.000 ans d’histoire(s) ! », accessible quant à elle, jusqu’au 27 novembre prochain.

« Une fois encore je remercie les responsables des lieux qui ont participé à cette 26e édition des Journées du Patrimoine, mais également les associations, les administrations communales et toutes les personnes qui, depuis des années, de près ou de loin contribuent au succès de cet événement. C’est grâce à leur investissement quotidien que Bruxelles a pu une nouvelle fois se dévoiler sous un jour inédit à un public nombreux», a déclaré le Ministre-Président Rudi Vervoort.

Photos disponibles sur https://picasaweb.google.com/mbhg.dml/JDP_OMD_14

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« BRUXELLES ACCUEILLERA L’EURO 2020 ! »

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« BRUXELLES ACCUEILLERA L’EURO 2020 ! »

communiqué de presse

19 septembre 2014

Le Ministre-Président de la Région Bruxelles-Capitale, Rudi Vervoort et le Ministre bruxellois des Finances et Guy Vanhengel se réjouissent que l’UEFA ait retenu la candidature de Bruxelles comme ville hôte de l’EURO 2020 de football.

C’est une première, en lieu et place de l’habituel pays hôte, l’Euro 2020 qu’on appelle déjà « L’EURO des Villes », se déroulera dans 13 villes choisies parmi les 49 candidatures a annoncé l’Union Européenne des Associations de Football (UEFA) ce midi depuis son siège situé à Genève.

Et il était évident que la capitale européenne devait en faire partie. Bruxelles accueillera donc trois matchs de poule et un huitième de finale.

De plus, Bruxelles reste une candidate de taille pour accueillir le match d’ouverture de la compétition, décision qui sera prise par l’UEFA en 2016. La finale se tiendra quant à elle à Londres.

Pour rappel, l’actuel stade Roi Baudouin ne répondra plus aux normes UEFA dès 2017. A l’initiative de Rudi Vervoort et de Guy Vanhengel, le Gouvernement Bruxellois s’était prononcé à Ostende en mai 2013 pour l’implantation du nouveau stade national sur le site de l’actuel parking C en bordure du plateau du Heysel, sur un terrain, bien que situé en Flandre,  mais appartenant à la Ville de Bruxelles.

Depuis cette décision, le Ministre-Président Rudi Vervoort n’a pas cessé d’être le facilitateur et le moteur pour mettre toutes les parties prenantes autour de la table afin de faire avancer la candidature de Bruxelles.« Il était impensable que la capitale de la Belgique et de l’Europe ne fasse pas partie des 13 villes hôtes de l’EURO 2020 ! » a déclaré Rudi Vervoort.  « Les différents acteurs concernés doivent maintenant continuer à faire avancer le dossier que j’ai initié l’année passée afin que l’infrastructure soit fin prête pour cet événement et que Bruxelles dispose à nouveau d’un stade aux normes UEFA » a ajouté le Ministre-Président.

« Aujourd’hui, Bruxelles peut être très fière d’avoir mené à bien sa candidature comme ville hôte, ensemble, avec toutes les familles politiques et ce en très peu de temps. L’obligeance et la collaboration démontrent aujourd’hui que nous continuons à mettre la Belgique en avant sur le plan international », a déclaré Guy Vanhengel, ministre bruxellois des Finances de la Région de Bruxelles-Capitale.

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Bruxelles 1.000 ans d’histoire(s) ! Une exposition pour les enfants de 10 à 110 ans

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Bruxelles 1.000 ans d’histoire(s) ! Une exposition pour les enfants de 10 à 110 ans

communiqué de presse

16 septembre 2014

Depuis quand Manneken-Pis remplit-il son office ? Qui bombarda Bruxelles en 1695 ? Qui est perché en haut de l’hôtel de ville ? Que représente l’Atomium ?
Vous voulez connaître les réponses à ces questions ? Rendez-vous pour une balade dans le temps grâce à l’exposition « Bruxelles 1000 ans d’histoire(s) ! » qui se tient aux Halles Saint-Géry jusqu’au 27 novembre prochain.

Depuis début septembre, la mezzanine des Halles Saint-Géry s’est transformée en une gigantesque ligne du temps, accessible à tous les enfants de 10… à 110 ans et destinée à représenter l’histoire de Bruxelles. Les lieux, personnages, faits célèbres ou insolites, sont illustrés dans un parcours où chaque période, du Moyen Âge à nos jours, est matérialisée par une couleur.

Ce parcours atypique se veut résolument ludique, puisque la scénographie fait immanquablement penser à une marelle géante ! Le sol est parsemé de tapis circulaires et le visiteur déambule sous des dizaines de lampions colorés. Très visuelle, l’exposition joue la carte de l’humour et a pour ambition de mettre à la portée de tous, et avant tout des enfants, les principaux éléments de l’histoire de la ville millénaire. Un jeu termine ce voyage spatio-temporel et propose à ceux qui le souhaitent de tester leurs connaissances en replaçant les évènements clefs sur une ligne du temps miniature.

Cette exposition fait suite à la publication du livre « Bruxelles, l’Histoire en histoires. » sorti en février dernier en français et en néerlandais. Le succès de cet ouvrage a poussé l’éditeur à publier une version anglophone disponible dès maintenant.

Cette exposition est une initiative de la Région de Bruxelles-Capitale. Elle est conçue et réalisée par les historiens de l’art de l’Association pour l’étude du Bâti (www.apeb-vsg.be), mise en espace par Juliette de Patoul (Accolade), illustrée par Aline Baudet (Accolade) et Laurane Perche.

En pratique
Exposition accessible gratuitement tous les jours de 10 à 18h jusqu’au 27 novembre aux Halles Saint-Géry, place Saint-Géry 1, 1000 Bruxelles.
En savoir plus ?
Brigitte Vander Brugghen, Direction des Monuments et des Sites de la Région de Bruxelles-Capitale
tél : + 32 2 204.24.49 fax : + 32 2 204.15.22

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Les trafics voie d’eau du Port de Bruxelles progressent au 1er semestre 2014

Port-de-bruxelles

Les trafics voie d’eau du Port de Bruxelles progressent au 1er semestre 2014

communiqué de presse

15 septembre 2014

Les trafics par la voie d’eau affichent au premier semestre 2014 une progression de près de 180 000 tonnes pour les six premiers mois de l’année, soit +5%, et le trafic global s’élève désormais à près de 3,5 millions de tonnes.

Avec plus de 60% du trafic propre, les matériaux de construction continuent leur progression de plus de 20% et confirment leur position de secteur majeur pour le port de Bruxelles.

Cette progression de +229 000 tonnes supplémentaires s’explique principalement par les exportations de terres excavées des chantiers bruxellois et de boues de dragage, ce qui témoigne des efforts mis en place par l’autorité portuaire pour favoriser l’utilisation de la voie d’eau.

Les échanges internes au port de Bruxelles également en progression confirment d’ailleurs que la voie d’eau représente une solution durable pour le transport intrarégional bruxellois.

Le deuxième secteur par tonnage reste celui des produits pétroliers qui représentent plus de 20% des échanges. Ces deux secteurs comptent désormais pour 85% des trafics portuaires bruxellois par la voie d’eau et affirment résolument le rôle crucial du port pour l’approvisionnement de Bruxelles.

« Avec 95 hectares de superficie utile où sont installées près de 350 entreprises, le domaine portuaire sera stratégique pour le développement de la zone du Canal et l’ambition portée par mon Gouvernement d’en faire la véritable colonne vertébrale de notre Région. La transformation de cette zone notamment au profit de nouveaux lieux d’activités économiques devra également permettre d’amplifier l’importance de la voie d’eau pour l’approvisionnement de notre Région.» déclare Rudi Vervoort, désormais Ministre de tutelle du Port de Bruxelles.

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Un boulevard urbain pour remplacer le Viaduc Reyers et une approche cohérente de la zone Reyers – Meiser

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Un boulevard urbain pour remplacer le Viaduc Reyers et une approche cohérente de la zone Reyers - Meiser

communiqué de presse

5 septembre 2014

« La décision dans le dossier du Viaduc Reyers, témoigne de notre volonté de gérer les choses autrement. Il ne sera plus question à Bruxelles d’effectuer les chantiers plic ploc, de rouvrir trois fois la même rue, je veux éviter à tout prix que des chantiers interminables se suivent et empoisonnent la vie des Bruxellois sans qu’ils soient coordonnés. C’est pour cela que nous allons revoir la zone Reyers – Meiser de façon intégrée et cohérente. » a déclaré Rudi Vervoort à l’issue du premier conseil des ministres bruxellois. 

« Il fallait trouver une solution d’ensemble qui ne soit ni trop couteuse, ni absurde comme la démolition pure et simple sans vision globale et plan de mobilité. C’est ce que mon gouvernement a décidé ce matin-même » a ajouté le Ministre-Président Rudi Vervoort.

En effet, le gouvernement de Rudi Vervoort opte pour une solution durable et respectueuse des riverains qui prévoit une augmentation importante de la qualité de l’espace public à Schaerbeek.

Dans une première phase, la démolition du Viaduc et le réaménagement provisoire la voirie seront effectués à partir de mars 2015. Bruxelles-Mobilité sera chargé d’étudier l’impact sur la qualité de vie des riverains et les solutions à leur apporter pendant toute la durée de l’aménagement temporaire.

Aussi, le gouvernement a décidé ce 4 septembre de repenser toute la zone de Reyers – Meiser en un projet unique qui intégrera le tunnel routier et tram déjà prévu sous la place Meiser, mais également le Pôle média. C’est ainsi que l’aménagement définitif du boulevard Reyers et l’aménagement en surface du rond point Meiser feront l’objet d’une projet unique tant au niveau de la conception, du dépôt des permis d’urbanisme que de la réalisation, et ce avec pour objectif un démarrage du chantier Reyers au plus tard en mars 2017, et du chantier Meiser au plus tard en mars 2018.

La volonté est de traiter toute la zone comme un ensemble, de réduire les nuisances pour les riverains et d’aboutir à une solution structurelle durable en accord avec la vision de la Région du Gouvernement Bruxellois.

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Désignation d’une équipe internationale pour concevoir la cité des médias

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Désignation d’une équipe internationale pour concevoir la cité des médias

communiqué de presse

17 juillet 2014

Une équipe internationale, sous la conduite de l’agence d’architecture et d’urbanisme François Leclercq, a été formellement retenue pour aménager le nouveau quartier et la cité des médias sur le site actuel de la VRT et de la RTBF.

Cette désignation intervient dans le cadre de l’étroite collaboration entre la Région bruxelloise, la commune de Schaerbeek, la VRT et la RTBF organisée en vue du développement du site Reyers en pôle métropolitain dédié au secteur des médias.

Dans la foulée de l’adaptation par la VRT et la RTBF de leur stratégie immobilière en 2012, le Gouvernement avait mis les différents protagonistes autour de la table et proposé d’actualiser le Schéma directeur Reyers approuvé en 2010 pour permettre un développement d’envergure métropolitaine dans le cadre duquel la RTBF et la VRT pourraient trouver toute leur place.

Cette réflexion a mis en évidence un potentiel de développement de maximum 450.000 m² permettant la construction des nouveaux sièges des télévisions publiques, la construction d’environ 250.000 m² de logements, les infrastructures nécessaires à ce nouveau quartier et l’aménagement d’un parc d’envergure régionale. Ce potentiel permet aussi de mettre en œuvre le projet de Cité des médias destinée notamment à mettre en réseau des entreprises, des instituts d’enseignement et des équipements liés aux médias.

L’équipe de conception qui vient d’être désignée par les quatre partenaires est constituée de l’Agence François Leclercq reconnue pour l’aménagement de sites majeurs comme ceux de Paris Nord-Est, d’Euro-méditerranée à Marseille ou encore pour son projet de Bois habité à Lille, de l’agence d’architecture BOB 361, de l’agence de paysage barcelonaise Espinas i Tarraso, du bureau de programmation média espagnol NATEX, expert-conseiller du pôle médias de Barcelone 22@BCN, de l’agence d’urbanisme belge BUUR et des bureaux d’études CITEC (mobilité), Alphaville (programmation urbaine), Transsolar (développement durable) et Mageo Morel Associés (infrastructure).

Elle disposera de 24 mois pour concevoir ce projet urbain qui doit accueillir les nouveaux sièges de la VRT et de la RTBF pour 2019.

Rudi Vervoort, Ministre-Président bruxellois s’est dit « satisfait de voir une nouvelle étape franchie dans le cadre du développement de ce pôle stratégique. Il est également très encourageant de voir combien la collaboration entre les partenaires de ce projet est efficace. La réussite de celui-ci constituera sans aucun doute une réponse significative aux défis bruxellois en termes de logement et d’emploi, tout en permettant de rencontrer les besoins de la VRT et de la RTBF.  »

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