Accord sur un programme public pour le développement du site des Abattoirs d’Anderlecht

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Accord sur un programme public pour le développement du site des Abattoirs d’Anderlecht

communiqué de presse

29 mars 2022

Sur la proposition du Ministre-Président Rudi Vervoort et du Secrétaire d’État Pascal Smet, le Gouvernement de la Région de Bruxelles-Capitale a donné son accord de principe pour le développement d’un programme public sur une partie du site des Abattoirs d’Anderlecht.

Avec cet accord de principe, le Gouvernement fait clairement connaître ses ambitions pour le site des Abattoirs d’Anderlecht. Le site connaît une véritable métamorphose depuis plusieurs années, grâce notamment à des fonds FEDER et à l’action d’Abattoir s.a. Depuis, le Foodmet et la ferme urbaine qui y est liée ont ainsi pu intégrer ce paysage. Le projet Manufakture viendra bientôt s’y ajouter, avec l’objectif d’y aménager à terme une piscine à l’air libre sur le toit.

Du fait de son histoire, de sa localisation et de sa superficie, le site des Abattoirs revêt une grande importance pour la Région. Le site, d’une superficie de 8 ha, jouit par ailleurs d’une position stratégique, à proximité de deux stations de métro, du canal, et non loin de la Gare du Midi.

Abattoir s.a. reste propriétaire de la partie du site sur laquelle se situe notamment le Foodmet. La commune d’Anderlecht est encore propriétaire de l’autre partie du site, mais celle-ci sera bientôt transférée à l’échelon régional (Société d’Aménagement Urbain). Abattoir s.a. verra son bail emphytéotique prolongé jusque 2088 sur une partie de cette  propriété transférée. Par ailleurs, Abattoir s.a. cèdera l’ensemble de ses droits sur une parcelle longeant le canal, dont elle est propriétaire, qui deviendra la pleine propriété de la Région.

Il revient à la Société d’Aménagement Urbain (SAU) d’assurer le développement de l’ensemble des terrains qui passeront à l’échelon régional. L’objectif consiste à ouvrir le lieu et à le rendre plus accessible aux Bruxellois.es, à lui donner une utilisation plus urbaine en y construisant notamment des logements publics dans le cadre d’une programmation mixte intégrant les développements économiques passés et futurs d’Abattoir s.a.

Depuis l’approbation du contrat de rénovation urbaine n°3 pour la zone « des abords de la Gare de l’Ouest », les autorités travaillent à développer un guide pour la structuration du site et surtout des espaces publics qui s’y trouvent. Elles se sont basées pour cela sur le masterplan « Le ventre de Bruxelles », développé à l’initiative d’Abattoir s.a. Ces plans constituent la base des études que mène actuellement la SAU à la demande de la Région en vue de définir plus précisément le programme de développement du site.

La Région jouissant d’une meilleure maîtrise foncière sur ce lieu stratégique via la SAU, elle travaillera à concrétiser ses ambitions en matière de création de logements et d’équipements, de maintien des activités urbaines de production, de promotion de la rénovation urbaine, de garantie d’accessibilité pour les usagers faibles et d’objectifs environnementaux et climatiques. La Région bruxelloise va en outre apporter une contribution significative au projet de rénovation de la Halle centrale, élément exceptionnel du patrimoine industriel, dont Abattoir s.a. restera emphytéote.

« Je suis très heureux de cette décision du Gouvernement concernant ce site central. La Région se met ainsi en position de développer un programme public ambitieux qui aidera en outre à concrétiser les objectifs du Plan Canal et du Plan de qualité paysagère (Beeldkwaliteitsplan, ou BKP) tout en renforçant la dynamique socio-économique initiée par Abattoir s.a. », déclare le Ministre-Président Rudi Vervoort.

« Nous définissons aujourd’hui la ville de demain, et la qualité de vie de tous les Bruxellois est clairement au centre de cette démarche. Le site des Abattoirs devient un quartier urbain mixte et tourné vers l’avenir, où il fera bon habiter, travailler, apprendre et se détendre. C’est ce que nous voulons démontrer en misant sur des logements abordables et de qualité ainsi que sur des équipements ambitieux, comme cette piscine à l’air libre offrant une vue imprenable sur la ville », poursuit Pascal Smet, Secrétaire d’État bruxellois à l’Urbanisme.

Gilles Delforge, directeur de la Société d’Aménagement Urbain, se félicite que « la SAU, d’ailleurs à la tête des grands projets d’aménagement urbain, puisse une fois encore mettre sa polyvalence au service de la Région pour réaliser des équipements publics divers et ayant un rayonnement régional. En effet, la SAU travaille actuellement à des projets d’équipements couvrant des fonctions culturelles, médiatiques, sociales, sportives, universitaires et sanitaires. Plusieurs de ces projets prennent d’ailleurs place au bord du canal. »

« Avec la prolongation de l’emphytéose, les conditions fixées à Abattoir s.a. pour le lancement de la construction de Manufakture sont enfin remplies.  Les plans pour coupler les différentes activités économiques et les logements de la SA Abattoirs grâce un réseau de chaleur innovant sont d’ores et déjà prêts, ce qui permettra à terme d’évoluer vers un site sans émission de CO2 », Elke Tiebout, CEO d’Abattoir s.a.

Un nouveau parc se dessine dans le quartier Heyvaert

Sennette

Un nouveau parc se dessine dans le quartier Heyvaert

communiqué de presse

28 mars 2022

A deux pas de la porte de Ninove et du canal, le quartier Heyvaert, particulièrement dense, va bientôt s’aérer et accueillir un nouvel espace vert, à la place d’anciens bâtiments industriels. A l’initiative du Ministre-Président Rudi Vervoort et du Ministre de l’Environnement, de la Transition climatique et de la Démocratie participative, Alain Maron, Bruxelles Environnement a déposé un permis d’urbanisme pour aménager la première partie du parc de la Sennette, qui fera 1,8 ha à terme.

Conçu par le bureau d’architectes Okra dans le cadre du Contrat de rénovation urbaine n°05 « Heyvaert – Poincaré », le projet reliera par une promenade verte le parc de la Rosée, la porte de Ninove et les Abattoirs d’Anderlecht. A mi-parcours, un nouvel espace vert sera aménagé avec une vaste esplanade plantée du côté de la rue Heyvaert, comme lieu convivial de rencontre dans ce quartier qui compte très peu d’espaces publics. Des équipements ludiques et sportifs sont prévus, pour tous les âges : du mobilier de fitness pour les plus grands et une aire de jeu ondulée avec différents éléments favorisant l’imagination et les interactions sociales pour les plus jeunes. L’ensemble est aussi parsemé de lieux invitant à la détente et au repos : chaises longues, bancs, poufs, tables de pique-nique, etc.

Cette esplanade se prolonge par un jardin plus intimiste, le jardin de l’Alchimiste, une sorte de micro-forêt où le promeneur est invité à observer, avec tous ses sens, la faune et la flore urbaines. Pour assurer la fraicheur en été, des zones humides et un jardin d’ombre seront aménagés à divers endroits du parc. Enfin, plusieurs murs et façades aveugles seront végétalisés avec des plantes grimpantes, tant dans le parc que dans le quartier afin d’y amener plus de verdure et de fraicheur.

Le projet a été conçu en concertation avec les riverains. Divers ateliers et réunions de présentation ont été organisés à échéances régulières depuis le démarrage des études en 2021. L’acquisition des terrains nécessaire à la réalisation du parc a été conclue par Beliris et les communes d’Anderlecht et de Molenbeek-Saint-Jean, dans le cadre du Contrat de rénovation urbaine. Bruxelles Environnement finance la réalisation du projet et gèrera à terme ce nouvel espace vert. Les travaux débuteront en 2024. 

Alain Maron, Ministre bruxellois de l’Environnement et de la Transition climatique : « Je me réjouis de concrétiser ce parc de la Sennette. Ramener des espaces de nature, de fraicheur et de détente dans les quartiers centraux et denses est difficile vu la pression urbaine, mais c’est une priorité. Grâce au parc de la Sennette, le quartier Heyvaert devient plus vert, plus agréable à vivre et aussi plus résilient face au changement climatique. Rien que pour la première partie du projet, 3.000 m² de sol bétonné seront végétalisés, avec 28 arbres en plus et des ilots de fraicheur. Ce parc illustre notre volonté politique de réconcilier ville et nature, pour en faire des alliées au bénéfice de la qualité de vie des Bruxellois.es et de la biodiversité. »

Pour Rudi Vervoort, Ministre-Président, « le contrat de rénovation urbaine joue ici pleinement son rôle : en inscrivant dans son programme ce projet prioritaire de nouveau parc linéaire au sein du quartier dense Heyvaert, le CRU permet de mettre en oeuvre des projets opérationnels ambitieux et de répondre concrètement aux problématiques de création de nouveaux maillages urbains et verts. Il permet aussi la concrétisation d’un des objectifs du PAD Heyvaert. Je me réjouis de cette nouvelle étape franchie. »

« Ce beau projet de parc bénéficiera aux habitants de ce quartier très dense de ma commune et qui subit, malheureusement, des nuisances de tous types. Le parc s’ajoutera à plusieurs projets en cours comme notre hall Libelco qui verra l’installation de plusieurs projets socioculturels.  De plus, nous allons installer une antenne de proximité qui permettra d’établir une communication directe avec les citoyens et de leur proposer, entre autres mais pas seulement, des facilités administratives. L’ensemble de ces projets va permettre d’oxygéner ce quartier qui en a grandement besoin » déclare Catherine Moureaux, Bourgmestre de Molenbeek Saint-Jean.

Pour Nadia Kammachi, Echevine en charge de la Rénovation urbaine à Anderlecht : « Le parc de la Sennette est une réelle nécessité pour un quartier qui souffre d’un manque criant d’espaces verts. Ce sont les habitants qui nous le disent à chacune de nos rencontres. Ce manque a été mis en avant lors de la crise Covid et des différents confinements de ces deux dernières années. Les habitants de Cureghem méritent d’avoir accès à des espaces verts conviviaux, de qualité et sécurisés. C’est une exigence sociale et environnementale ! ».

 

Quelques chiffres pour la première partie du projet située entre les rues Heyvaert, Liverpool et Mégissiers

  • Un nouvel espace vert de 5.000 m²
  • 28 arbres à haute tige plantés
  • 3.281 m² de sols imperméables transformés en surfaces perméables et végétalisées
  • coût estimé des travaux : 3,2 millions €

 

Bilan de la mission #BruKin2022: entre Bruxellois et Kinois les liens se retissent

BruKin2022 bilan

Bilan de la mission #BruKin2022: entre Bruxellois et Kinois les liens se retissent

communiqué de presse

28 mars 2022

« La mission économique, politique, culturelle et académique que j’ai eu l’honneur de présider est un véritable succès » constate le Ministre-Président de la Région de Bruxelles-Capitale, Rudi Vervoort. « Nous faisons partie de la même famille. Les liens qui nous relient sont désormais renoués. Grâce aux multiples contacts établis notamment avec le Premier Ministre de la République Démocratique du Congo (RDC) et le Gouverneur de Kinshasa, cette mission incarne un nouveau départ fructueux. Elle pose les jalons d’une collaboration forte entre nos deux pays amis » indique le Ministre-Président bruxellois.

Au niveau économique, il est encore trop tôt pour tirer les conclusions et connaitre tous les résultats de cette mission. Mais d’excellentes perspectives de réussites s’annoncent. Le commerce international est un marathon et de nouvelles visites des entreprises belges seront nécessaires dans les mois qui viennent pour poursuivre les discussions. Toutefois, les premiers succès peuvent déjà être enregistrés puisque des entreprises de la délégation ont conclu d’importants accords avec leurs estimés partenaires congolais, notamment dans les domaines de la télé-médecine, du textile, de la construction et de l’environnement. Cette mission a aussi été l’occasion pour les entreprises de partager leurs expériences et besoins lors de plusieurs séminaires instructifs et inspirants sur l’état de l’économie congolaise et les opportunités existantes dans les secteurs de la construction, l’environnement et la digitalisation. 

La volonté affichée par Rudi Vervoort et Pascal Smet de profiter des missions économique organisées par hub.brussels pour rapprocher les peuples s’est incarnée lors de ces derniers jours.

Ainsi en plus du volet économique, cette mission avait également un volet académique, culturel et politique. La délégation a pu visiter différents projets financés par l’appel à projets Sud de Brussels International. Parmi ceux-ci, le projet CIPROC, qui met en avant l’excellent travail entrepreneurial des femmes congolaises a fait forte impression. L’émotion était également palpable lors des rencontres autour du projet Leaving no one behind sur l’empowerment socio-économique de la communauté LGBTQi+, ou lors de la rencontre des écoliers de l’école Kibunda de Nsele. Grâce au projet Wash de l’Unicef et au financement de la Région bruxelloise, cette école s’est dotée d’un point d’eau construit grâce à un forage dont la capacité de réservoir est de 2.000 litres et comprend 7 robinets. 6 nouvelles latrines séparées filles-garçons ont pu également être créées renforçant l’accès de tous à l’éducation.

Enfin, l’exposition Kinshasa-(N)tonga : entre futur et poussière a été inaugurée cette semaine dans le cadre du projet passerelle « Living Traces » de Kanal-Centre Pompidou. Cette exposition, initiée par l’artiste Sammy Baloji, sera ouverte jusqu’au 22 avril à l’Académie des Beaux-Arts de Kinshasa avant d’être présentée à Bruxelles en septembre.

«Cette première mission au Congo depuis 2016 est un nouveau départ et en appelle d’autres » conclu Rudi Vervoort.

La Région bruxelloise en visite officielle à Kinshasa pour renforcer les liens bilatéraux

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La Région bruxelloise en visite officielle à Kinshasa pour renforcer les liens bilatéraux

communiqué de presse

18 mars 2022

Le Ministre-Président de la Région bruxelloise Rudi Vervoort se rendra à Kinshasa du 19 au 25 mars pour une mission officielle politique, économique et commerciale dans le cadre de l’Accord de Coopération qui lie la Région de Bruxelles-capitale à la Ville-Province de Kinshasa mais aussi à l’occasion de la Semaine économique belge. Prévu initialement, Pascal Smet, Secrétaire d’État au Commerce Extérieur et aux Relations Internationales n’accompagnera pas la mission suite à une très récente contamination au Covid.

En 2019, Rudi Vervoort et Pascal Smet ont rencontré Félix Tshisekedi Tshilombo, le Président de la République Démocratique du Congo (RDC), lors d’une visite officielle de ce dernier en Belgique. Durant de riches échanges, les deux parties ont affirmé leur volonté de renouer et de renforcer leurs relations bilatérales aussi bien sur les plans administratif qu’économique et culturel.

Par ailleurs, la Région bruxelloise a, depuis 2016, un accord de coopération avec la Ville-Province de Kinshasa au sein duquel les deux partenaires expriment la volonté de promouvoir et de renforcer leur coopération notamment dans les domaines suivants:  l’environnement, le renforcement des capacités administratives et institutionnelles, l’informatique, la culture et le genre.

C’est dans ce cadre mais aussi à l’occasion de la Semaine économique belge qui a lieu chaque année en RDC, qu’aura lieu la mission officielle menée par la Région bruxelloise à Kinshasa du 19 au 25 mars. Cette visite s’inscrit d’une part dans le cadre d’une mission commerciale tri-régionale menée par hub.brussels, l’Agence bruxelloise pour l’Accompagnement de l’Entreprise. Elle comportera d’autre part un volet politique et culturel dédié dans le cadre du partenariat bilatéral. Le Ministre-Président Rudi Vervoort y mènera une délégation composée d’élus et de hauts-fonctionnaires de la Région bruxelloise et de la Ville de Bruxelles, mais également d’une importante délégation d’entreprises bruxelloises, wallonnes et flamandes, d’universités, d’institutions culturelles et de la société civile.

Le programme dense met l’accent sur diverses thématiques dont le numérique, l’économie circulaire, l’entrepreneuriat féminin, la santé et la culture.

Au niveau politique, le Ministre-Président signera, avec le Gouverneur de la Ville-Province de Kinshasa, un avenant à l’accord de coopération reprenant les thématiques prioritaires pour les prochaines années. Il rencontrera également plusieurs éminences dont le Premier Ministre de la RDC et le Ministre de la Santé.

Plusieurs visites de terrain sont aussi prévues dont celles de projets de coopération au développement soutenus par la Région bruxelloise dans le cadre de l’Appel à Projets Sud coordonné par Brussels International.

Septante-sept entreprises se sont inscrites pour participer à la première mission économique tri-régionale organisée en RDC depuis 2016. Une centaine de représentants économiques feront donc le déplacement en vue de trouver des partenaires au Congo, dans des secteurs aussi variés que la construction et les infrastructures, le digital, la santé, l’énergie ou encore la consultance. Beaucoup disposent déjà d’une expérience à l’export ou de contacts en Afrique. Les relations privilégiées entre les deux pays et les deux capitales placent le Congo à la première place du classement des pays pour les exportations bruxelloises de biens sur le continent africain. En amont de cette mission, un travail de préparation intense a été réalisé par les équipes de hub.brussels. Il permettra l’organisation de séminaires, de nombreux rendez-vous « Business to Business », « Business to Government » et de visites de terrain. Autant d’occasions de retisser les liens et de mettre en avant la qualité des produits et services des entreprises belges et leur expérience sur le continent africain.

La culture, vecteur de lien fort entre nos deux villes, est également une thématique importante de cette mission. Seront présentés, à cette occasion, plusieurs activités et projets portés entre autres par l’asbl Connexion avec le KVS, Kanal-Centre Pompidou, la VUB et l’asbl Bruxelles 2030 qui a l’intention de donner une place centrale au lien entre Bruxelles et Kinshasa dans le cadre de la préparation de la candidature de Bruxelles, capitale européenne de la culture en 2030.

Enfin, au niveau académique, la mission sera aussi l’occasion de mettre en avant nos universités bruxelloises, l’ULB et la VUB, toutes les deux fort actives en République démocratique du Congo. Elles y présenteront leurs activités et étudieront de nouvelles pistes de collaborations aux cours d’un séminaire dédié.

Secteurs les plus touchés : des primes jusqu’à 15.000 euros

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Secteurs les plus touchés : des primes jusqu’à 15.000 euros

communiqué de presse

15 mars 2022

Sur proposition de Barbara Trachte, Secrétaire d’État à la Transition économique, de Rudi Vervoort, Ministre-Président et de Sven Gatz, Ministre des Finances et du Budget, le Gouvernement bruxellois a approuvé, en première lecture, deux projets d’arrêtés afin de soutenir les entreprises dans le cadre de la crise du Covid-19. 

Comme déjà annoncé, ces nouvelles aides sont destinées aux entreprises les plus touchées des secteurs qui ont été le plus en difficultés dans le cadre de la crise du Covid-19. A savoir, le monde de la nuit, les hébergements touristiques, l’événementiel, les restaurants et cafés et certains de leurs fournisseurs, le sport et les transports de personnes. C’est finalement un budget de 63 millions d’euros qui leur sera dédié.

Avec cette nouvelle aide, il s’agit de soutenir les entreprises qui ont dû fermer ou qui ont été entravées dans leur activité par les différentes mesures sanitaires fin 2021 et au 1er trimestre 2022 (fermeture totale des discothèques, limitation des personnes à table dans les restaurants et cafés, limitation du nombre de personnes lors d’événements…). Si le Codeco a décidé d’une réouverture totale aujourd’hui, la relance est encore entravée par des manques de trésorerie ou par l’impact du télétravail, notamment dans certains quartiers bruxellois.

Par conséquent, le Gouvernement bruxellois a approuvé une nouvelle aide économique sous forme de 2 primes :

  1. Une « Prime 2022 » pour les discothèques, l’événementiel, les ReCa ainsi que leurs fournisseurs, le tourisme, le sport et le transport de personnes. Budget : 45 millions d’euros.

Les montants sont fixés en fonction du pourcentage de la perte du chiffre d’affaires et du nombre d’ETP : la perte de CA est calculée sur une comparaison de 2019 et 2021 et devra être d’au moins 60%.

Nombre d’ETP

Montants

Moins de 10

5.000 euros

10 ou plus

7.500 euros

Si l’entreprise a perdu plus de 75% sur cette même période, les montants seront de :

Nombre d’ETP

Montants

Moins de 10

11.000 euros

10 ou plus

15.000 euros

Un forfait de 4.000 EUR est prévu pour les entreprises nées en 2019, 2020 et 2021.

  1. Une Prime « HT3 » pour les hébergements touristiques, d’un montant de 1.100 euros par unité de logement. Budget : 18 millions d’euros. Par ailleurs, les Auberges de Jeunesse bénéficieront à nouveau d’une aide régionale.

Ces deux primes seront disponibles pour les entrepreneurs après avis des partenaires sociaux (Brupartners), du Conseil d’État et de l’Autorité des Protections des données (APD). La notification à la Commission européenne pour le cadre temporaire des aides d’État sera également demandée.

La Région bruxelloise veut renforcer les connaissances linguistiques dans l’enseignement qualifiant grâce au numérique

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La Région bruxelloise veut renforcer les connaissances linguistiques dans l’enseignement qualifiant grâce au numérique

communiqué de presse

10 mars 2022

Le Ministre-Président bruxellois Rudi Vervoort lance un appel à projets pour à la fois promouvoir les connaissances linguistiques dans l’enseignement qualifiant, stimuler le numérique dans les écoles et lutter contre le décrochage scolaire dans le cadre du programme bruxellois pour l’enseignement et la petite enfance de la Stratégie Go4Brussels 2030.

La connaissance du français et du néerlandais, mais également de l’anglais, constitue un atout important pour accéder au marché du travail bruxellois. Apprendre une langue, cela commence souvent à l’école. Pourtant, de nombreuses écoles souffrent d’un manque d’enseignants pour les cours généraux et donc également pour les cours linguistiques particulièrement dans l’enseignement qualifiant. Ce manque d’enseignants (ou leur absentéisme) peut contribuer au décrochage scolaire des jeunes.

Les technologies numériques peuvent être un outil intéressant pour revigorer l’intérêt des élèves pour l’école et l’apprentissage des langues. C’est pourquoi la Région soutient les écoles bruxelloises dans leur transition numérique en investissant dans de l’équipement numérique mobile et la connectivité via le Centre Informatique de la Région bruxelloise (CIRB) et avec le soutien du Service École de perspective.brussels. La Région a déjà précédemment investi dans la plateforme « Brulingua » d’Actiris. Destinée à tous les Bruxellois de plus de 18 ans, Brulingua peut servir d’exemple pour améliorer les compétences linguistiques des élèves des écoles bruxelloises.

Le Ministre-Président Rudi Vervoort a chargé le Service École de lancer un appel à projets dans l’enseignement qualifiant. Les projets doivent répondre à trois conditions : ils doivent stimuler l’enseignement du néerlandais, du français et/ou de l’anglais ; ils doivent promouvoir l’usage du numérique dans les écoles de l’enseignement qualifiant ; et ils doivent renforcer la lutte contre le décrochage scolaire, en proposant des solutions pour les absences temporaires ou de longue durée des professeurs de langues ou en offrant un cadre pertinent pendant les heures creuses suite à ces absences.

Le gouvernement bruxellois met à disposition un budget de 150.000 euros à cet effet pour cet appel à projets ouvert à toutes les institutions francophones et néerlandophones ayant le statut d’asbl (dont les centres de recherches) actives dans l’apprentissage des langues, axés sur les métiers et l’enseignement via des outils numériques, et qui disposent d’une expertise dans le domaine des Stem (sciences, technologie, ingénierie et mathématiques) et du soutien scolaire. 

Le Ministre-Président bruxellois Rudi Vervoort: « Cet appel à projets vise à soutenir des initiatives alliant l’apprentissage des langues, le renforcement de l’usage du numérique dans les écoles et la lutte contre le décrochage scolaire. Dans ce sens, il concoure à une plus grande égalité des chances pour les jeunes de l’enseignement qualifiant, souvent issus des quartiers moins favorisés et plus exposés au risque de décrochage, dans leur parcours actuel ou futur ».

Le Ministre bruxellois Sven Gatz, chargé de la Promotion du Multilinguisme et membre du Collège VGC en charge de l’Enseignement : « Je soutiens cette initiative car elle promeut le multilinguisme. Une bonne connaissance des langues est également cruciale pour les élèves des établissements de l’enseignement qualifiant de la Région bruxelloise. D’autant que l’enseignement qualifiant souffre d’une grave pénurie d’enseignants, notamment pour les cours généraux et les cours linguistiques. »

Le Ministre Bernard Clerfayt, chargé de l’Emploi et de la Formation professionnelle : « A Bruxelles, connaître une seconde langue, principalement le néerlandais et l’anglais, augmente de 50% ses chances de décrocher un emploi. Si nous investissons dans les formations et les outils, tels que Brulingua, pour former les chercheurs d’emploi, l’apprentissage des langues, cela commence dès l’école.  Et si en plus, les projets mettent l’accent sur un apprentissage numérisé, nous atteignons un double objectif. Car à côté des compétences métiers, les compétences linguistiques et numériques sont très recherchées par les employeurs. »

Le « Convoi de la Liberté » interdit à Bruxelles

manif

Le « Convoi de la Liberté » interdit à Bruxelles

communiqué de presse

10 février 2022

Afin de faire face au Convoi de la Liberté, qui n’a à ce jour pas fait l’objet d’une autorisation de manifester car aucune demande n’a été envoyée, la ministre de l’intérieur Annelies Verlinden, le ministre-président Rudi Vervoort et le bourgmestre de Bruxelles Philippe Close mettent les moyens fédéraux, régionaux et locaux en place pour empêcher le blocage de la Région de Bruxelles-Capitale. 

En effet, la Police Fédérale va contrôler les véhicules motorisés aux grands axes vers Bruxelles qui viennent pour manifester en Belgique. La Région et la Ville de Bruxelles vont prendre des arrêtés d’interdiction de manifester avec des camions sur leur territoire. En pratique, les zones de police de la capitale avec l’aide de la Police Fédérale dévieront les camions qui viendraient vers la capitale malgré l’interdiction vers le Parking C. 

Cette collaboration entre les trois niveaux de pouvoir vise à impacter le moins possible l’ordre public dans la capitale.

Sous la coordination de la ministre de l’Intérieur, Annelies Verlinden, les services concernés se réunissent pour aborder l’approche à adopter.

Approbation d’une vision générale pour le renforcement des espaces ouverts en Région bruxelloise

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Approbation d’une vision générale pour le renforcement des espaces ouverts en Région bruxelloise

communiqué de presse

4 février 2022

Sur proposition du Ministre-Président Rudi VERVOORT et des Ministres Alain MARON et Elke VAN DEN BRANDT, le Gouvernement bruxellois a approuvé la vision globale pour le renforcement du réseau d’espaces ouverts à Bruxelles et a chargé perspective.brussels et Bruxelles Environnement de lancer sa mise en œuvre.

La vision pour le renforcement du réseau d’espaces ouverts dans et autour de Bruxelles est le résultat de l’étude « OPEN Brussels », réalisée à l’initiative de perspective.brussels et de Bruxelles Environnement, en collaboration avec les partenaires flamands dont le Departement Omgeving Vlaanderen, l’agence Natuur en Bos et l’OVAM. L’étude s’inscrit dans le cadre du programme de coopération interrégionale axé sur le développement spatial de la périphérie nord « TOP Noordrand ».

L’objectif de cette étude, menée par le consortium BUUR, Antea et Hesselteer, était de développer, en collaboration avec les partenaires flamands, une vision pour le renforcement du réseau d’espaces ouverts durables et  « interrégionalement » cohérents, en prenant en considération la biodiversité, l’eau, la fraîcheur, le silence, l’éducation, l’agriculture locale, les loisirs et la mobilité active. Cette vision est basée sur la conviction partagée selon laquelle les espaces ouverts constituent une partie essentielle de la ville.  Il convient d’assurer une optimisation écologique du réseau bruxellois d’espaces ouverts afin notamment de permettre une densification qualitative de la ville. Par ailleurs, cela devrait contribuer tant à la cohésion sociale, à la qualité de vie et à la santé des Bruxelloises et Bruxellois qu’à la résilience, à l’attractivité et à la valeur globale du territoire. 

L’étude se concentre sur la périphérie nord du 20ième siècle et définit, en plus des structures concentriques bien connues – telles que la Ceinture Verte, le Ring, la Moyenne Ceinture, la Petite Ceinture –  des structures radiales d’espaces ouverts. Il s’agit des 12 « corridors d’espaces ouverts » qui relient le centre aux espaces ouverts plus étendus situés dans la périphérie: Dilbeek – Porte de Ninove, E40 – Parc Elisabeth, Vallée de Molenbeek, Domaine Royal – Meise, Pont Van Praet – Tangebeek, Maelbeek – Canal, Vallée de la Senne, Schaerbeek – Machelen, Josaphat-Zaventem, E40 – Vuilbeek, Vallée de la Woluwe, Trawool.

Cette vision générale sera donc un outil d’aide pour la future politique de développement territorial. Elle permettra de concentrer les investissements consacrés aux espaces ouverts prioritairement dans les zones définies. Les atouts principaux découleront du renforcement des « services écosystémiques » des structures existantes d’espaces ouverts: la capacité d’une zone de procurer de la fraîcheur, de récolter de l’eau, d’héberger de la biodiversité, de capter la pollution atmosphérique ou de tamponner les nuisances sonores, etc.

Le consortium de bureaux d’étude se tiendra à disposition pendant les 4 prochaines années pour s’atteler à des missions concrètes. Ainsi, ils pourront exécuter, pour le compte des administrations régionales ou des communes, plusieurs missions de suivi ayant trait par exemple à la déminéralisation de rues, à l’ « humidification » de parcs, à la verdurisation d’entrées urbaines ou à la réouverture de cours d’eau. 

Les résultats de l’étude sont accessibles à l’adresse suivante: https://perspective.brussels/brochure_openbrussels_fr

Selon le Ministre-Président Rudi Vervoort: « La vision pour le renforcement du réseau d’espaces ouverts part de l’idée que les espaces ouverts constituent un maillon essentiel pour construire la ville de demain. Il convient d’assurer une optimisation écologique du réseau bruxellois d’espaces ouverts afin notamment de permettre une densification qualitative de la ville. »

« Le gouvernement affiche son ambition de donner structurellement sa place aux plantations et à l’eau en ville, notamment dans les quartiers les plus densément peuplés. Chaque espace public – rue, place, parc ou zone non bâtie – pourra être utilisé pour rendre notre réseau végétal plus fort et résilient. Et ainsi, amener la nature au cœur de la ville et donner plus d’oxygène à tous les Bruxellois et les Bruxelloises», déclare Elke Van den Brandt, Ministre bruxelloise de la Mobilité.

Pour Alain Maron, Ministre bruxellois de l’Environnement, « L’étude et la centrale de marchés « Open Ruimte » vont permettre de structurer toute une série de corridors végétalisés entre la Région bruxelloise et la Flandre. Ce maillage écologique et paysager, à développer en collaboration avec les autorités locales et entre les deux régions, va renforcer la biodiversité et notre résilience au changement climatique. » 

Pour Antoine de Borman, directeur génréal de perspective.brussels: « Pour construire une ville qui met la qualité de vie et la santé au centre des préoccupations, nous souhaitons renforcer le réseau des espaces ouverts, en mettant l’accent sur la biodiversité et les services écosystémiques, et créer les conditions d’un développement urbain durable. Grâce à la coopération avec la Région flamande, nous avons développé une vision cohérente à l’échelle métropolitaine. Le lancement d’une centrale de missions doit permettre de concrétiser cette vision et marque une étape importante dans sa mise en œuvre. »

Le Gouvernement bruxellois approuve le nouveau programme pluriannuel de développement régional FEDER 2021-2027

bruxelles en vacances

Le Gouvernement bruxellois approuve le nouveau programme pluriannuel de développement régional FEDER 2021-2027

communiqué de presse

3 février 2022

A l’initiative du Ministre-Président Rudi Vervoort, le Gouvernement bruxellois a approuvé ce jeudi son avant-projet de Programme FEDER pour la nouvelle période de Programmation 2021-2027. Ce Programme pluriannuel de développement régional, soutenu par l’Union européenne à hauteur de 121 millions d’euros, offre une enveloppe totale de près de 300 millions et fixe une ligne de route solide pour soutenir et développer des projets et investissements d’intérêt régional à réaliser d’ici 2029.

Comme pour le Programme 2014-2020, l’innovation, le soutien aux PME et à l’économie circulaire continueront à être soutenus. Mais, pour ce nouveau programme, s’inscrivant dans les priorités définies par l’Union européenne, le Gouvernement régional a aussi choisi d’investir dans la numérisation des services publics, les économies d’énergie, notamment par la rénovation énergétique des logements et des bâtiments publics, et les équipements collectifs dans les quartiers entre autres.

En matière énergétique, le Programme contribuera à rapprocher les performances des bâtiments publics soutenus des prescriptions énergétiques attendues à l’horizon 2050 (stratégie européenne à long terme) et soutiendra les pouvoirs publics par un accompagnement renforcé pour les aider à réaliser les meilleures rénovations possibles. En matière d’investissement dans les quartiers, le Programme viendra compléter les politiques régionales en permettant aux dynamiques locales de déterminer elles-mêmes les équipements collectifs prioritaires pour la population.

Après une enquête publique auprès de la population et les avis d’organes consultatifs régionaux, le Programme sera adapté au printemps, avant d’être présenté à la Commission européenne d’ici l’été. Les premiers appels à projets devraient quant à eux être lancés dans la seconde moitié de l’année 2022.

Rudi Vervoort déclare: « Les moyens FEDER sont une opportunité exceptionnelle pour la Région bruxelloise d’investir dans les quartiers et soutenir les projets locaux, nos PME et Universités. De plus, cette nouvelle programmation sera résolument tournée vers le durable. Pour la première fois, nous y avons prévu des moyens conséquents pour la rénovation énergétique des logements sociaux. Une nécessité absolue au regard du contexte environnemental et social actuel et futur. »

Contrat d’Axe et Contrat d’Ilot: le Gouvernement bruxellois approuve la mise en place d’un nouveau dispositif de la politique de rénovation urbaine

Bruxelles

Contrat d’Axe et Contrat d’Ilot: le Gouvernement bruxellois approuve la mise en place d’un nouveau dispositif de la politique de rénovation urbaine

communiqué de presse

27 janvier 2022

Ce jeudi 27 janvier, sur proposition de Rudi Vervoort, Ministre-Président de la Région de Bruxelles-Capitale, le Gouvernement bruxellois a marqué son accord sur la mise en œuvre d’un nouvel outil de rénovation urbaine: le Contrat d’Axe et le Contrat d’Ilot (CACI).

«Le CACI est un nouvel outil qui s’inscrit totalement dans la politique urbaine de la région qui, si elle est un grand territoire, doit également se réinventer au niveau local. Grâce à cet instrument, nous pourrons agir sur des territoires spécifiques qui pouvaient être délaissés par une politique urbaine plus macro. Mais il nous permettra aussi d’être à l’écoute de toutes et tous pour qu’ensemble, on construise l’avenir de la Région Bruxelles-Capitale. » déclare Rudi Vervoort.

Comment définir le CACI ?

S’inscrivant comme un dispositif unique à l’échelle hypra locale (basé sur 1 ou 2 ilots ou 1 axe) accordant une place importante à la participation citoyenne, le CACI aura plusieurs objectifs principaux :

  • la dédensification et la désimperméabilisation des intérieurs d’îlots et des axes et la mise en place de dispositifs de lutte contre les effets climatiques ;
  • la requalification du bâti, prioritairement par sa rénovation, puis par des opérations de démolition-reconstruction ou de construction neuve ;
  • La requalification de l’espace public de l’axe (ou de l’ilot le cas échéant), pour y intégrer une qualité urbaine et environnementale (fonction de séjour, de rencontre, de récréation, de connecteur de maillages verts et bleus)
  • l’intensification des usages de l’axe par l’implémentation de logements, d’équipements publics locaux et d’activités économiques le long de celui-ci, la facilitation de l’usage et des accès à l’axe pour les modes actifs et la mise en place de dispositifs de lutte contre les effets du réchauffement climatique.
  • Et enfin, la meilleure prise en compte de projets citoyens (issus du monde associatif, des quartiers…) premiers concernés par la politique des outils de rénovation urbaine, à hauteur de 5 à 15 % du budget total du CACI. A ce titre, le coordinateur « participation » nouvellement créé au sein de perspective.brussels sera mobilisé pour accompagner cette démarche participative.

Quand seront lancés les premiers CACI ?

Cet accord au gouvernement se traduira dans un premier temps par deux séries test composées chacune de deux CACI et qui devront être mises en place en 2022 et en 2023.

Chaque série bénéficiera d’un budget de 10.000.000 d’euros.

Qui peut postuler au CACI ?

Les 19 communes de la Région bruxelloise pourront proposer un dossier de candidature. Chaque candidat devra proposer le modèle de participation qu’elle imagine dans la mise en œuvre de son CACI.

Courant février 2022, les communes recevront un courrier annonçant le lancement de l’appel à candidature. Elles auront ensuite un délai de 3 mois pour remettre leur dossier auprès de l’administration. Durant cette période, la Région mettra en place des réunions d’information et un guide d’élaboration du dossier à la disposition des communes candidates.