Informatisation des pouvoirs locaux bientôt sur les rails

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Informatisation des pouvoirs locaux bientôt sur les rails

communiqué de presse

9 novembre 2018

En juin 2017, le Gouvernement de la Région de Bruxelles-Capitale, sur initiative de Rudi Vervoort et Bianca Debaets, a affirmé la nécessité de développer une stratégie informatique régionale en faveur des communes et CPAS, afin de faciliter leur travail et d’améliorer le service aux citoyens.
 
Soucieux d’apporter aux communes le soutien nécessaire, le Ministre-Président en charge des Pouvoirs Locaux, Rudi Vervoort et la Secrétaire d’état chargée de l’informatique, Bianca Debaets, ont décidé de poursuivre le travail d’analyse du cadre informatique des Pouvoirs Locaux.
 
Ce travail porte sur une étude définissant avec précision les pistes matérielles et budgétaires en vue d’un renouveau de l’outil informatique des communes et CPAS. La modernisation informatique des administrations communales et des CPAS de la Région de Bruxelles-Capitale est une opération essentielle pour l’avenir de la Région.
Selon un agenda que s’est fixé le Gouvernement cette étude se terminera fin 2019, début 2020.
 
En 2020, les communes et le CIRB lanceront un appel d’offre collectif afin de bénéficier d’une économie d’échelle indispensable dans ce type de marché de service.
 
« Via notamment une économie d’échelle non négligeable, notre ambition est avant tout d’œuvrer pour avoir un service informatique le plus performant possible au bénéfice de l’ensemble des Bruxellois. Je me réjouis d’ores et déjà de l’engagement enthousiaste des Pouvoirs Locaux à nos côtés“, précise Bianca Debaets, Secrétaire d’État bruxelloise à la Transition numérique.
 
Et au Ministre-Président Rudi Vervoort d’ajouter : « Sans la participation du plus grand nombre de communes, le projet ne pourra aboutir. Un courrier à l’attention des Bourgmestres, Présidents des CPAS et Echevins en charge de l’informatique a été envoyé, je souhaite qu’une majorité s’inscrive dans cette dynamique qui ne pourra qu’apporter modernité et évolution bénéfiques aux Bruxellois. »
 
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Lidia GERVASI Porte-parole (FR)
Jo DE WITTE Porte-parole (NL)

Modernisation des funérailles et sépultures en Région bruxelloise

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Modernisation des funérailles et sépultures en Région bruxelloise

communiqué de presse

9 novembre 2018

Ce vendredi 9 novembre 2018, à l’initiative du Ministre-Président Rudi Vervoort, le Parlement bruxellois a voté un projet d’ordonnance visant à moderniser la matière relative aux funérailles et sépultures.
 
« Cette ordonnance, qui fait l’objet d’un très large consensus au sein de l’assemblée, innove sur plusieurs points, en vue de répondre aux attentes légitimes de la population bruxelloise qui, de plus en plus, délaisse l’inhumation au profit de la crémation, s’intéresse à de nouveaux modes de funérailles, et porte un intérêt grandissant aux types de sépulture situés dans des endroits plus proches de la nature que les cimetières traditionnels » explique Rudi Vervoort.
 
Ainsi, les avancées suivantes sont acquises :
 
1. Tous les cimetières devront être dotés d’une parcelle multiconfessionnelle permettant le respect des rites funéraires des convictions religieuses et philosophiques reconnues.
 
La généralisation de telles parcelles est rendue nécessaire au vu du fait que les enfants des immigrés de 1ère génération souhaitent, davantage que leurs parents, pouvoir être enterrés dans le pays où ils ont vu le jour et dont ils sont des citoyens à part entière.
Ces parcelles devront être intégrées dans le cimetière sans qu’une séparation physique puisse exister entre celles-ci et le reste du cimetière.
 
2. La création de salles dédiées à la tenue de cérémonies funéraires neutres est favorisée.
 
3. Le Gouvernement pourra autoriser de nouveaux modes de sépulture. On pense ici à l’ « humusation » et l’ « aquamation ».
 
– L’humusation est un processus contrôlé de transformation des corps par les micro-organismes dans un compost végétal, qui transforme les dépouilles mortelles en humus.
 
– L’aquamation est un processus (déjà permis au Canada) de « crémation par l’eau », par lequel le processus de décomposition des dépouilles mortelles est accéléré en plaçant celles-ci dans de l’eau chauffée à 96 °C à laquelle du sodium et du potassium sont ajoutés.
 
Ces nouveaux modes de sépultures, plus écologiques et économiques, doivent encore faire l’objet d’études techniques, mais l’ordonnance ouvre la porte à leur mise en œuvre.
 
Le Ministre-Président Rudi Vervoort précise : « J’ai personnellement écrit à ce sujet aux Ministres flamands et wallons compétents afin de proposer des collaborations inter-régionales sur toutes les questions techniques et juridiques entourant ces nouveaux procédés. »
 
4. L’inhumation des dépouilles mortelles dans une autre enveloppe d’ensevelissement que les traditionnels cercueils en bois est permise. On pense ici au linceul ou aux cercueils en carton.
 
Il s’agit de permettre des funérailles plus respectueuses des souhaits profonds de la population, plus économiques et plus écologiques.
 
5. Les communes pourront délimiter des zones, autres que le cimetière, où les cendres des corps incinérés peuvent être dispersées, et ce dans un souci de proximité avec la nature.
 
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Lidia GERVASI Porte-parole (FR)
Jo DE WITTE Porte-parole (NL)

Un accord-cadre pour le secteur de la construction a été conclu en Région bruxelloise

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Un accord-cadre pour le secteur de la construction a été conclu en Région bruxelloise

communiqué de presse

2 octobre 2018

La marque de fabrique du Gouvernement bruxellois est désormais connue : c’est la concertation entre les pouvoirs publics et les différents secteurs professionnels actifs à Bruxelles.
 
Ce type d’accords n’existaient pas spécifiquement entre les secteurs et la Région : de multiples chantiers de négociation ont donc été lancés avec les secteurs stratégiques pour l’économie et l’emploi bruxellois.
 
Dans cette dynamique nouvelle, le Gouvernement et le secteur de la construction ont donc conclu ce mardi 2 octobre 2018 le second accord sectoriel dans l’histoire de la Région.
 
Ce secteur, parmi les plus importants, compte quelques 12 700 entreprises en Région bruxelloise employant un peu plus de 8300 ouvriers souvent faiblement ou peu qualifiés. Ce secteur doit faire face à de nombreux défis comme le vieillissement de sa main d’œuvre et l’enjeu de son renouvellement (peu de jeunes suivent cette voie) ou encore les transformations très rapides des procédés et des différentes règlementations en matière de construction ou de rénovation des bâtiments.
 
Cet accord entend organiser et pérenniser la concertation entre les pouvoirs publics, les entreprises du secteur et les travailleurs. Ce dialogue social doit permettre de dégager des conditions et des solutions adéquates pour la création d’emploi de qualité à Bruxelles et d’anticiper les évolutions des besoins de notre Région, encourageant ainsi l’activité des entreprises présentes sur notre territoire.
 
« Le secteur de la construction est un secteur important pour le développement de notre Région tant en termes de développement urbanistique qu’en ce qui concerne sa contribution à la croissance économique de notre Région. Cet accord est un accord gagnant-gagnant : la Région, à travers ses instruments publics, peut soutenir le secteur dans ses efforts de formation, de recherche d’innovations ou encore dans ses efforts de lutte contre toute forme de discrimination. Le secteur peut contribuer à l’essor de la Région en partageant son expertise professionnelle » explique le Ministre-Président Rudi Vervoort.
 
« Nous pouvons être fiers des efforts consentis par les pouvoirs publics dans le secteur de la construction. Le Gouvernement francophone bruxellois que je préside, par exemple, dédie des moyens importants à la formation et à la remise à l’emploi dans ce domaine. C’est en effet un partenaire de qualité pour l’insertion notamment des jeunes et qui offre des perspectives de carrière, par exemple au travers des spécialisations qu’offrent les développements technologiques », commente pour sa part Fadila Laanan, Ministre-Présidente du Gouvernement francophone bruxellois.
 
« Cet accord, c’est du concret ! Il permettra notamment de garantir aux chercheurs d’emploi bruxellois qualifiés dans un métier de la construction de trouver un emploi de qualité dans le secteur. En effet, nous allons améliorer l’efficacité de la formation professionnelle dans le secteur, augmenter le nombre de stages en entreprise et d’épreuves de validation des compétences, augmenter le nombre d’offres d’emploi gérées et pourvues par Actiris. Les opportunités d’emploi existent, et on constate même certaines pénuries : le secteur et les services publics auront désormais un cadre et des outils renforcés pour améliorer l’embauche des Bruxellois-es », affirme le Ministre bruxellois de l’Economie, de l’Emploi et de la Formation professionnelle, Didier Gosuin.
 
« Le Plan Formation Emploi (PFE) Construction vise à renforcer la force d’action d’acteurs clés du secteur dont notamment le CDR-Construction qui est l’un de mes partenaires privilégiés pour la formation à l’éco-construction et l’économie circulaire en construction » explique la Ministre bruxelloise de l’Environnement, Céline Fremault
Et le Président du Conseil Economique et Social, Jan De Brabanter de conclure : « Ensemble, nous nous engageons pour une collaboration active afin de participer à l’amplification des politiques régionales, en développant les synergies entre les acteurs de l’emploi, de la formation, de l’enseignement et des entreprises. L’Accord-Cadre Construction nous mobilise pour le renforcement de l’emploi des Bruxellois et le maintien et la création d’emplois de qualité dans ce secteur important à Bruxelles, tout comme il nous engage à rendre plus performantes les politiques en matière d’emploi, de formation et d’enseignement. C’est tout l’enjeu du futur « Pôle Formation Emploi » dédié au secteur de la construction, prévu par l’Accord-Cadre. »
 
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Lidia GERVASI Porte-parole (FR)
Jo DE WITTE Porte-parole (NL)

Sommet Social – 25 septembre 2018

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Sommet Social – 25 septembre 2018

communiqué de presse

25 septembre 2018

Ce 25 septembre, Rudi Vervoort, Ministre-Président de la Région de Bruxelles-Capitale et Didier Gosuin, Ministre Bruxellois de l’Économie, de l’Emploi et de la Formation professionnelle, ont réuni l’ensemble des membres du Gouvernement et du Conseil économique et social de la Région de Bruxelles-Capitale à l’occasion du Sommet Social de l’année 2018.
 
Le Sommet Social est un moment typiquement bruxellois qui sert à mener une véritable concertation entre politiques et partenaires sociaux sur les grands enjeux de la capitale. Cette pratique de la concertation est la marque de fabrique du Gouvernement bruxellois et constitue l’un des facteurs de réussite des politiques menées et héritées de la méthode « Stratégie 2025 ».
 
Les chiffres le prouvent. Le taux de chômage, qui s’élevait à 16,3% en août dernier, ne cesse de baisser depuis 46 mois. Pour retrouver un taux aussi bas, il faut remonter jusqu’en 1992. Quant au taux d’emploi, il atteint actuellement 56,2%, ce qui correspond au taux le plus haut depuis la création de la Région bruxelloise. De même, notre Région comptait 104.705 entreprises en août dernier. C’est 3.577 entreprises de plus qu’en 2016.
 
Le Sommet Social est surtout l’occasion pour l’ensemble des partenaires de faire le bilan des projets portés depuis un an et de discuter des priorités à mener d’ici la fin de la législature afin d’assurer l’autonomie de Bruxelles à l’horizon 2025.
 
Pour cette dernière année de législature, les échanges ont été concentrés sur le « top 10 » des sujets les plus emblématiques. Même s’il ne reste que quelques mois, le Gouvernement bruxellois reste mobilisé et a pris des engagements importants : l’évaluation du plan PME, l’adoption d’un plan industriel, la poursuite des 10 grands pôles de développement urbain, le renforcement de la formation, la mise en place des pôles Formation-Emploi ou encore l’amélioration de la mobilité.
 
Cependant, cette stratégie pâtit d’une faiblesse de taille : elle est encore trop peu connue des Bruxellois, pourtant au cœur de l’ensemble des chantiers menés. C’est pourquoi, avec l’ensemble des partenaires, une vaste campagne de communication est lancée. Elle s’adresse directement à ceux pour qui les changements sont attendus : les Bruxellois. Tram, journal Métro, vélos ou encore nouveau site web nous permettront de communiquer dorénavant sous le nom de « Go4Brussels » (Go for Brussels).
 
Pour le Ministre-Président, « Ce Sommet Social marque une fois de plus la dynamique de concertation très positive que nous sommes parvenus à déployer à Bruxelles, comme nulle part ailleurs. Cette écoute et ce dialogue enrichissent nos décisions politiques et inspirent nos perspectives pour la capitale. Aujourd’hui, nous avons fixé le cadre de travail d’ici à la fin de la législature mais l’ambition de la Stratégie 2025 pour la création d’emplois durables et de qualité, pour le déploiement économique de Bruxelles et son attractivité doit maintenant porter au-delà du terme politique et conduire tous les Bruxellois jusqu’en 2025.»
 
Didier Gosuin : « Le taux d’emploi en Région bruxelloise n’a jamais été aussi haut, 56,3%. C’est un record depuis la création de la Région en 1989. Tandis que l’on comptabilise une croissance nette de 3.577 entreprises en 2017. Ces avancées en matière d’emploi et économie sont aussi le fruit d’un dialogue efficace et d’une concertation de qualité avec les partenaires sociaux. Gageons maintenant que ce dernier sommet social de la législature sera source d’inspiration pour les suivants. »
 
Jan de Brabanter, Président du Conseil économique et social : « Les interlocuteurs sociaux soulignent l’évolution positive du dialogue économique et social au sein de la Région de Bruxelles-Capitale. Ce constat s’appuie principalement sur le concept des « priorités partagées », initialement proposé par le Conseil économique et social et qui vise un certain nombre de grands chantiers de la Stratégie 2025. Les exemples positifs de recours à ce nouveau mode d’élaboration des normes, fondé sur l’écoute, le respect et l’exigence mutuels, sont de plus en plus nombreux. Ils nous incitent à réfléchir à son développement, ainsi qu’à sa pérennisation au-delà de l’actuelle législature. A huit mois du terme de cette législature, le travail qui reste encore à accomplir est conséquent.
 
Toutefois, les interlocuteurs sociaux entendent mettre tout en œuvre pour contribuer à la réalisation des priorités identifiées aujourd’hui.»
 
Contacts presse :
Cabinet R. Vervoort : Lidia Gervasi 0483 591 831 – Jo De Witte 0478 452 286
Cabinet D. Gosuin : Pauline Lorbat 0485 894 745
CES : Siham CHAOUCH 02 205 68 65

Bruxelles ambitionne de devenir la première ville 5G en Belgique à l’horizon 2020 !

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Bruxelles ambitionne de devenir la première ville 5G en Belgique à l’horizon 2020 !

communiqué de presse

20 juillet 2018

Ce jeudi 19 juillet 2018, le Gouvernement bruxellois et les opérateurs de téléphonie mobile ont conclu un protocole d’accord afin de permettre le développement de la 5G en Région bruxelloise, avec comme ambition de faire de Bruxelles la première ville 5G du pays.
 
Ce protocole, signé par l’ensemble des parties prenantes à l’accord, pose les jalons qui permettront de rencontrer cette ambition, basé sur un dialogue permanent et une confiance mutuelle entre la Région et les opérateurs de téléphonie mobile.
 
Ce document ambitieux se décline en trois volets, abordant respectivement les questions liées à l’environnement et la santé, l’économie et l’emploi, la smart city et les investissements futurs. Ensemble, ils dressent la portée générale que le Gouvernement et les opérateurs de téléphonie mobile souhaitent donner à l’arrivée de la nouvelle technologie.
 
L’axe environnemental prévoit l’adoption d’une charte de bonne pratique dans laquelle les opérateurs s’engagent notamment à utiliser les meilleures méthodes et techniques (BAT – Best Available Technology) permettant une sobriété à l’exposition aux champs électromagnétiques pour une couverture maximum, ou encore à participer à la démocratie participative locale à travers des séances d’informations dans les communes qui le souhaitent.
 
L’arrivée de la nouvelle technologie porte également de belles perspectives en terme d’emplois. Des collaborations spécifiques entre les opérateurs de téléphonie mobile, Actiris et Bruxelles Formation seront développées pour augmenter l’emploi des Bruxellois et répondre dans le même temps aux besoins en recrutement des opérateurs.
 
Des projets pourront également être développés pour déployer le potentiel de Bruxelles comme capitale digitale et innovante. Un premier projet « proof of concept » sera mis sur pied par les opérateurs pour réaliser les premières observations de ce que pourra offrir la 5G à Bruxelles.
 
La signature de ce protocole d’accord lance un processus commun, qui aboutira à une vision commune qui sera soumis à une large concertation, y compris des citoyens, avant l’arrivée de la technologie à l’horizon 2020.
 
Contacts opérateurs :

Le Plan régional de Développement durable (PRDD) est adopté.

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Le Plan régional de Développement durable (PRDD) est adopté.

communiqué de presse

13 juillet 2018

Ce jeudi 12 juillet, le Gouvernement bruxellois a définitivement approuvé le Plan régional de Développement durable (PRDD).
 
Ce plan trace la vision territoriale à l’horizon 2040. Le territoire doit être vu comme le lieu où s’expriment les différents défis sociétaux que notre ville-région doit affronter : le défi de la mixité sociale, de l’essor démographique, du redéploiement de l’économie et de l’emploi au bénéfice des Bruxellois, de l’accessibilité du logement, de la congestion autoroutière et des questions environnementales, …
 
Le PRDD cherche à rencontrer ces défis spécifiques. L’aménagement du territoire et les projets de ville doivent soutenir et mettre en œuvre ces visions urbaines autour des 4 grands axes :
  1. Mobiliser le territoire pour construire l’armature du développement territorial et développer de nouveaux quartiers
  2. Mobiliser le territoire pour développer un cadre de vie agréable, durable et attractif
  3. Mobiliser le territoire pour développer l’économie urbaine
  4. Mobiliser le territoire pour favoriser le déplacement multimodal
L’enquête publique a rencontré un succès inégalé, avec près de 6.000 avis récoltés. Avec l’appui de la Commission régionale de Développement (CRD), le PRDD a été retravaillé et enrichi pour prendre en compte l’ensemble des remarques et avis des citoyens et associations qui se sont manifestés.
 
« Le PRDD se veut le document fondateur qui servira à orienter l’action publique régionale dans les années à venir. Il s’agit ici de mobiliser le territoire pour répondre aux défis d’équité entre les différentes zones de la Région et en promouvant un développement durable de Bruxelles, qui allie aussi bien les dimensions sociales, économiques et environnementales » a précisé Rudi Vervoort.
 
Le Ministre-Président de la Région de Bruxelles-Capitale et la Commission Régionale de Développement présenteront, en commission Développement Territorial du Parlement Bruxellois, ce mercredi 18 juillet les grandes lignes de ce texte fondateur. Vous y êtes tous conviés.
 
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Lidia GERVASI Porte-parole (FR)
Jo DE WITTE Porte-parole (NL)

L’avenir du Magasin 4 est assuré !

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L’avenir du Magasin 4 est assuré !

communiqué de presse

3 juillet 2018

Le Magasin 4 est un haut lieu de la culture punk-rock reconnu de Bruxelles et même en Belgique. Ce lieu culte et mythique ne pouvait disparaitre du spectre bruxellois sans raison.
 
Dans le cadre du Contrat de Rénovation Rrbaine n° 1 Citroën – Vergote, la Région bruxelloise a prévu un bâtiment, adjacent au futur parc Beco, pour héberger définitivement les activités existantes de Magasin 4. Celui-ci y trouvera un lieu d’accueil permanent à partir de 2023.
 
« Pour les autorités bruxelloises, il s’agit ici d’une nouvelle qui donne du sens à la culture. Compte tenu du succès du Magasin 4 et de l’importance pour la Région bruxelloise de telles initiatives en matière de musiques alternatives, il était important de prévoir un emplacement permanent et, en attendant le projet final, de trouver un hébergement temporaire qui puisse satisfaire toutes les parties » se réjouit le Ministre-Président Rudi Vervoort.
 
En attendant les travaux, une solution temporaire a donc été trouvée entre la Région de Bruxelles-Capitale, la Ville de Bruxelles, le Port de Bruxelles et la Société d’Aménagement Urbain (SAU) : Magasin 4 sera installé dans des locaux provisoires. Ils seront hébergés dans certains espaces du TIR (bâtiment logistique du Port de Bruxelles), rue de l’Entrepôt.
 
« Les parcs bruxellois ont une vocation multifonctionnelle dont la culture est une des fonctions. Dans le cadre de l’aménagement du parc récréatif du Quai des Matériaux – qui est un projet inscrit dans l’accord de majorité du début de législature – une solution a pu être trouvée pour la relocalisation du Magasin 4 grâce à un dialogue constructif entre la Région et la Ville » ajouteCéline Fremault, Ministre de l’Environnement.
 
Pour le Bourgmestre de la Ville de Bruxelles, Philippe Close : « La Ville et la Région, main dans la main ont travaillé pour maintenir ce lieu de culture alternative qu’est le Magasin 4. Une ville, c’est aussi oser des endroits outsider qui ne font pas la part belle qu’à la culture de masse. Chapeau aux équipes du Magasin 4 de faire bouger Bruxelles !
»
 
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Lidia GERVASI Porte-parole (FR)
Jo DE WITTE Porte-parole (NL)

Nouvel espace vert pour les Bruxellois

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Nouvel espace vert pour les Bruxellois

communiqué de presse

19 juin 2018

Ce mardi 19 juin 2018, la Région de Bruxelles-Capitale a officiellement fait l’acquisition d’un terrain avenue Van Volxem, situé entre le musée du Wiels et le centre culturel du BRASS. Cet espace non bâti se transformera en un nouveau parc à la demande des habitants et de la commune de Forest.
 
Grâce au Contrat de Rénovation Urbaine (CRU) « avenue du Roi », approuvé le 7 juin dernier par le Gouvernement, et l’accord de coopération Beliris, la Région aménagera un parc urbain mêlant détente et culture. Ce terrain se situe entre deux bâtiments dédiés justement à la culture et à l’art. Deux bâtiments des anciennes Brasseries Wielemans, par ailleurs classés, qui ont fait l’objet d’une restauration et d’une rénovation importante.
 
« Vu l’augmentation de population que connait notre Région en général et ce quartier en particulier, il paraissait essentiel de maintenir cet espace comme un espace vert dédié à la détente », explique le Ministre-Président, Rudi Vervoort. « Cet achat permettra d’aménager un parc de minimum 3000 m² pour les habitants du quartier. L’objectif étant à terme de pouvoir réaliser un parc linéaire parallèle à l’avenue Van Volxem, le long du chemin de fer. »
 
Il s’agit de la deuxième acquisition réalisée dans le cadre de ce Contrat de Rénovation Urbaine. La première étant l’achat d’un bâtiment également avenue Van Volxem pour y faire un pôle petite enfance pour les 0-12 ans.
 
Au Bourgmestre de Forest, Marc-Jean Ghyssels, enthousiaste, d’ajouter : « Je voudrais me réjouir de ce projet qui alliera un espace vert et un jardin collectif. Cela permettra des liaisons directes entre le quartier Mérode et le Pont de Luttre tout en améliorant la sécurité des déplacements et la mobilité dans son ensemble. Je suis très heureux de l’attention que la Région a porté à la demande de ma commune et du bien-être de ses habitants. »
 
Ce nouveau projet régional se fera en étroite collaboration avec le service de la rénovation urbaine de la commune de Forest puisqu’elle aura la Maitrise d’ouvrage sur l’étude et les travaux. Ceux-ci devraient débuter en 2021. Un processus participatif est prévu afin d’établir le projet d’aménagement du parc. La gestion du futur parc sera quant à elle confiée à Bruxelles -Environnement.
 
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Lidia GERVASI Porte-parole (FR)
Jo DE WITTE Porte-parole (NL)

Plus de clarté et de cadre légal pour les communes bruxelloises

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Plus de clarté et de cadre légal pour les communes bruxelloises

communiqué de presse

8 juin 2018

Le Parlement bruxellois a voté, aujourd’hui, l’ordonnance du Gouvernement bruxellois portée par le Ministre Président Rudi Vervoort visant à réformer, mettre à jour et mieux contrôler les différentes structures publiques créées par les communes.
 
Il s’agit là de l’aboutissement d’un travail important qui a été esquissé dès 2014 dans l’accord de majorité et qui a été initié dès 2016.
 
« Le niveau communal constitue le maillon essentiel de notre démocratie. L’objet de ce texte est de répondre aux défis nouveaux des communes, de leur donner les moyens de leurs actions et de veiller, en même temps, à harmoniser les règles qui leurs sont applicables » explique le Ministre-Président Rudi Vervoort.
 
Il était donc essentiel d’offrir un cadre légal adapté aux communes et aux structures qui en dépendent.
 
Les modes de gestion visés sont :
 
– les régies communales ordinaires et les régies communales autonomes. Le conseil communal devra désormais se prononcer quant à l’opportunité de créer une régie communale autonome et il en définira précisément les modalités de son fonctionnement. Ce projet met également en place un mécanisme clair de tutelle administrative. Un contrat de gestion viendra, enfin, clarifier le rôle de la régie et les moyens de contrôle de la commune à son égard.
 
L’asbl communale sera désormais définie sur la base de sa représentation ou de son financement public. Elle, aussi, sera soumise à des règles strictes de tutelle et à un contrat de gestion déterminant ses obligations.
 
– L’organisation de la coopération intercommunale. Grâce à ce texte, la prise de participation directe dans des sociétés, associations ou institutions de droit public ou de droit privé sera légalement encadrée alors que la législation applicable actuellement est muette à ce sujet.
 
Et à Rudi Vervoort, Ministre-Président de la Région de Bruxelles-Capitale de conclure : « Ce texte offre une réforme ambitieuse du cadre législatif applicable aux structures publiques bruxelloises : obligation de contrats de gestion, instauration de mécanismes de tutelle forts et redéfinition des missions. L’ensemble de ces avancées nous offre des perspectives nouvelles et ambitieuses pour la gouvernance bruxelloise, des exigences légitimes en terme d’éthique sur lesquelles je base mon travail sans concessions. »
 
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Lidia GERVASI Porte-parole (FR)
Jo DE WITTE Porte-parole (NL)

“Start spreading the news”…When Brussels meets New York & Washington

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“Start spreading the news”…When Brussels meets New York & Washington

communiqué de presse

18 mai 2018

Une importante délégation bruxelloise participera aux Brussels Days organisés à Washington DC et New-York du dimanche 20 au jeudi 24 mai 2018. Emmenée par le Ministre-Président Rudi Vervoort et la Secrétaire d’Etat au Commerce extérieur Cécile Jodogne, cette délégation compte une quarantaine d’ opérateurs touristiques et d’entreprises.
 
Organisées chaque année depuis 2006 dans une ville différente, les Brussels Days visent à renforcer le positionnement de la Région sur la scène internationale, à valoriser son économie et à mettre en avant ses talents, ses richesses culturelles et son art de vivre. Cette année, c’est à Washington DC et à New York City que la Région de Bruxelles-Capitale pose ses valises.
 
La Région s’attache à renforcer les liens qui l’unissent à ces deux villes américaines de premier plan, tant au niveau économique que touristique, grâce à l’action des opérateurs régionaux Visit.brussels, Brussels International et hub.brussels (Bruxelles Invest & Export).
 
Les Etats-Unis sont, et de loin, le premier partenaires commercial non-européen de la Région en termes d’exportations de biens, et le 7e au total, n’étant devancé que par nos pays voisins. De surcroît, New-York est une place influente pour les services de conseil et d’ingénierie, qui sont parmi les moteurs des exportations bruxelloises, ou encore pour les produits de bouche et les industries créatives.
 
La mission de cette année fera dès lors la part belle au tourisme, à l’éco-construction, à la scène hiphop bruxelloise, à la gastronomie, aux nouvelles technologies et aux industries créatives (mode & design). Les opérateurs régionaux ont concocté un riche programme. Ces journées, mettant Bruxelles à l’honneur, offrent l’opportunité aux différents professionnels bruxellois et américains de discuter, de partager et de collaborer.
 
Des rencontres officielles tant avec des agences fédérales qu’avec les autorités new-yorkaises sont également à l’ordre du jour. Elles devront permettre un dialogue city to city pour le développement de projets communs dans des thèmes tels que la sécurité (rencontre avec la FBI) et le développement durable (NY Mayor’s Office) entre autres.
 
Enfin, des réunions Business-to-business et divers événements artistiques mettront en valeur les atouts de notre Région. L’objectif est d’entretenir un climat propice à la prise de contact entre interlocuteurs locaux et Bruxellois et de renforcer l’image de Bruxelles.
Rudi Vervoort, Ministre-Président de la Région de Bruxelles-Capitale explique : « Ce déplacement en dehors de nos frontières a pour moi un objectif principal : celui de renforcer des liens de collaboration entre Bruxelles, New York et Washington.
 
Les Etats-Unis représentent en effet le 6ème marché en termes de nuitées (plus de 400.000 nuitées en 2017) pour notre Région. Il est donc indispensable de montrer nos atouts sur le plan touristique, mais également sur le plan économique et culturel. Ensemble, avec nos opérateurs Visit Brussels, Brussels International et Brussels Invest and Export, des entrepreneurs, des créateurs et des artistes, les Brussels Days sont une véritable vitrine de notre savoir-faire dans bien des domaines à l’étranger. Je me réjouis de mettre tous ces Bruxellois à l’honneur ! »
 
« Les échanges économiques avec les États-Unis revêtent depuis toujours un caractère stratégique pour la Région bruxelloise. Au sein de cette dynamique, les relations qu’entretiennent Bruxelles et New York, jouent un rôle important dans leur développement respectif. Il est selon moi primordial de pérenniser la notoriété que nous développons pour nos entreprises et la Région à travers les rencontres officielles et économiques lors de ces Brussels Days. Les événements que nous organisons constituent sans conteste une nouvelle étape dans le renforcement des relations économiques entre Bruxelles et New York. Grâce à nos actions, nos entreprises pourront trouver des partenaires potentiels fiables. » a conclut la Secrétaire d’Etat au Commerce extérieur,Cécile Jodogne.
 
Jo de Witte Cabinet du Ministre-Président Rudi Vervoort Porte-parole +32(0) 478 45 22 86
 
Jérôme De Mot Porte-parole Cabinet de la secrétaire d’Etat Cécile Jodogne +32(0) 475 76 47 93