Dès ce mercredi, les cours de l’enseignement secondaire se donnent entièrement à distance. Une situation qui remet sur l’avant-scène les besoins d’une école numérique mais également la nécessité d’un matériel scolaire 2.0 pour les élèves. En Région bruxelloise, le Plan de relance débloque près de 3,2 millions d’euros pour équiper les enfants et adolescents.
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Le Gouvernement bruxellois soutient les communes bruxelloises dans la lutte contre le décrochage scolaire
communiqué de presse
27 octobre 2020
Le 2 juillet dernier, le gouvernement régional a approuvé son plan de relance post-COVID-19 dont l’une des priorités est la lutte contre le décrochage scolaire.
«Il ne fait aucun doute que la crise sanitaire a un impact négatif sur le décrochage scolaire, accentuant les différences socio-économiques et marginalisant davantage les plus vulnérables. Pour éviter que cette crise sanitaire et sociale n’aggrave encore les inégalités, il était impératif de faire de la lutte contre le décrochage scolaire une priorité régionale. Dès lors, nous avons décidé de soutenir les communes dans ce cadre. Le renforcement du niveau communal et la promotion du travail de proximité, ainsi qu’une démarche proactive et en réseau, permettront d’atteindre les familles et les jeunes qui se retrouvent le plus en difficulté. » déclare le Ministre-Président Rudi Vervoort.
Le Gouvernement bruxellois a ainsi mobilisé un budget de 1.500.000 euros pour le soutien d’actions locales visant à encourager les jeunes à ne pas décrocher de l’école. A cette fin, 1 équivalent temps plein (ETP) sera recruté dans chaque commune pour la période du 1er septembre 2020 au 30 juin 2022.
Les ETP auront 3 missions : la mise en réseau des acteurs de la lutte contre le décrochage scolaire, le suivi individuel des jeunes en décrochage scolaire et le renforcement des actions collectives de lutte contre le décrochage scolaire.
Suite à cette décision, le Service Ecole de perspective.brussels a pris contact avec les 19 communes bruxelloises qui ont toutes accepté de recourir à ce dispositif.
Déclaration de politique générale prononcée par le Ministre-Président – vendredi 23 octobre 2020

Déclaration de politique générale prononcée par le Ministre-Président - vendredi 23 octobre 2020
communiqué de presse
23 octobre 2020
Monsieur le Président,
Cher(e)s collègues,
Mesdames et Messieurs les Députés,
Jamais sans doute dans l’histoire de la Région, la Déclaration de Politique Générale n’a été prononcée en des temps si incertains.
La pandémie de Covid-19 soumet nos sociétés, notre système démocratique et le lien social à une épreuve violente autant qu’inédite.
L’épreuve est sanitaire, économique, sociale; elle affecte l’apprentissage des enfants et des étudiants, elle affecte la culture, le sport, elle restreint nos possibilités de déplacements, en Belgique comme dans le monde. Elle menace notre capacité à créer du lien, nos relations sociales, la solidarité entre individus et entre générations. Des vies sont perdues. La santé, physique, mais aussi mentale des Bruxellois est affectée. Nombre d’entre eux perdent leur emploi, des centaines d’entreprises sont menacées de faillites.
Mais au-delà de ces maux, la pandémie soumet notre société à un stress supplémentaire : l’incertitude. Personne ne peut dire avec assurance aujourd’hui quand et comment ces épreuves pourraient prendre fin.
Et cette incertitude est un défi en soi. Si l’acceptation de l’aléa de son destin individuel est une épreuve philosophique pour l’hommeet la femme, elle est un défi violent pour nos sociétés postmodernes. Elle est une épreuve pour notre système politique, qui a vocation à organiser, et à prévoir.
L’exercice que nous menons rituellement en cette troisième semaine d’octobre est censé tracer les lignes de l’action du gouvernement pour l’année à venir. Action soutenue par un budget, c’est-à-dire une prévision de recettes et de dépenses pour l’année à venir.
Nous mesurons la fragilité, pour ne pas dire la vanité de cette démarche dans la situation actuelle. Pourtant, elle est nécessaire. Parce que plus que jamais, il faut se fixer des objectifs et se donner les moyens de les réaliser.
La majorité s’est donné ces objectifs. Et malgré les inconnues majeures qui pèsent sur la situation sanitaire, économique et sociale, nous avons été plus loin, en convenant d’une trajectoire budgétaire pluriannuelle à échéance de la législature, et des grandes lignes la déterminant.
Je vous avais annoncé, il y a un an, que ce travail serait mené pour aboutir au printemps 2020, sur base d’une analyse complète du budget de la Région. Ce travail a été interrompu par la crise, et par le bouleversement du travail au sein des administrations. Nous l’avons ensuite remis sur le métier, tant bien que mal, pour nous donner cette épure pluriannuelle. Et nous poursuivrons encore ce travail pour rationaliser l’organisation administrative de la Région, et fournir le meilleur service au citoyen, en utilisant au mieux les ressources régionales.
L’ambition de la majorité, déclinée sur les quatre années à venir, s’inscrit bien entendu dans les priorités portées par la Déclaration de Politique Générale de la législature. En effet, la crise à laquelle nous faisons face n’a pas remis en cause ces objectifs.
Le rapport de diagnostic établis par Perspective comme base du Plan de Relance et de Redéploiement l’a démontré : les défis de la crise croisent les enjeux de la Déclaration de Politique Générale. Les défis identifiés à savoir, soutenir les publics fragilisés, contrer les conséquences sociales et économiques de la crise et assurer la capacité de résilience face aux crises futures, ces défis, doivent trouver réponse dans une action déterminée dans les quatre priorités régionales majeures : logement, climat, mobilité, économie-emploi.
(…)
Pour lire la suite, téléchargez la Déclaration de Politique Générale
Budget : 46,5 millions pour le personnel d’aide et de soins bruxellois

Budget : 46,5 millions pour le personnel d’aide et de soins bruxellois
communiqué de presse
22 octobre 2020
Suite à l’accord relatif au budget initial 2021 intervenu au Gouvernement bruxellois ce jeudi 22 octobre, un budget de 46,5 millions d’euros a été dégagé pour, d’une part, le secteur hospitalier public et les maisons de repos publiques (16,5 millions d’euros) et pour, d’autre part, le secteur non-marchand (30 millions).
Secteur non marchand
La crise socio-sanitaire due à l’épidémie de COVID-19 a un impact social et économique important et met sous pression l’ensemble des secteurs apportant des réponses aux besoins des citoyens, spécialement dans les secteurs de la santé.
Considérant l’importance sociétale et économique des secteurs non-marchands, particulièrement pour les secteurs exposés en 1ère ligne pendant cette crise du Covid-19, le Gouvernement bruxellois a dégagé un montant de 30 millions d’euros permettant l’implémentation progressive d’une revalorisation barémique dans les secteurs non-marchands bruxellois de la COCOF et de la COCOM (Maisons de repos, Maisons de repos et de soins, Maisons de soins psychiatriques, Institutions d’habitation protégée, Services résidentiels pour adultes et pour jeunes en situation de handicap,…).
Cela permettra de renforcer ceux-ci par l’amélioration des conditions salariales et des conditions de travail du personnel et, partant, de mieux garantir le bien-être des résidents/bénéficiaires. Ces mesures concernent près de 20.000 travailleurs.
Les discussions avec les partenaires sociaux seront entamées rapidement afin de déterminer les modalités pratiques de la mise en œuvre de ce refinancement qui s’étalera sur la période 2021-2024.
Secteur hospitalier public et maisons de repos publiques
Le Gouvernement a également décidé d’affecter 8,75 millions d’euros à une revalorisation du personnel des hôpitaux publics et des maisons de repos publiques en 2020 et jusqu’à 16,5 millions en 2024, principalement utilisés pour la réintroduction d’une prime de fin d’année et pour le paiement d’un abonnement STIB à tous ces travailleurs. Des mesures qui concernent plus de 10.000 personnes.
« La nécessité d’une revalorisation des fonctions du secteur non-marchand a été entendue par le Gouvernement bruxellois. La crise a en effet révélé à quel point le personnel du non marchand était sous pression. Nous aspirons maintenant à rapidement discuter avec le secteur pour la mise en œuvre de ces mesures », a commenté Barbara Trachte, Ministre Présidente de la Cocof.
« Le personnel d’aide et de soins bruxellois a été mis à rude épreuve pendant cette crise, notamment dans les hôpitaux et les maisons de repos publiques. Cette prime est une valorisation de tout leur travail qui est si essentiel pour les Bruxelloises et les Bruxellois », ajoute Alain Maron, ministre bruxellois de la Santé.
« Les travailleurs-euses des secteurs du non-marchand social-santé comme ceux et celles du secteur public attendaient un geste fort de notre part. Aujourd’hui, nous avons dégagé une enveloppe qui, je l’espère, nous permettra de poursuivre les concertations avec ces secteurs essentiels à la qualité de vie de la population bruxelloise. Des solutions constructives devront être recherchées pour assurer à la fois la juste revalorisation de ces secteurs, attirer de nouvelles recrues et accroître la qualité des conditions de travail pour l’ensemble des professionnels. », conclut Rudi Vervoort, Président du Collège Réuni de la Commission communautaire commune et Ministre en charge de la politique aux personnes en situation de handicap au sein de la Cocof.
Covid-19 – Une aide régionale pour soutenir le secteur hôtelier bruxellois

Covid-19 - Une aide régionale pour soutenir le secteur hôtelier bruxellois
communiqué de presse
22 octobre 2020
Les mesures prises en Belgique, mais aussi dans le reste du monde pour enrayer la propagation du Covid-19 ont conduit à un quasi arrêt de l’industrie touristique. Cette dernière, qui génère environ 10% des revenus de la Région bruxelloise et plus de 50.000 emplois directs, est un des secteurs les plus impactés par la crise sanitaire avec des conséquences sans précédent sur le secteur hôtelier. Le tourisme de séjour qui génère annuellement 1,2 milliard € en Région bruxelloise est particulièrement touché.
Étant donné la situation, de nombreux exploitants risquent rapidement de tomber en faillite. Cette situation doit être absolument évitée pour plusieurs raisons: la protection des nombreux employés de ces hébergements, la nécessité de garder une offre complète pour pouvoir accueillir les événements professionnels notamment, le souci d’éviter de créer des chancres urbains et l’image de la capitale européenne.
Dans ce cadre, le Gouvernement bruxellois a décidé de soutenir les exploitants des hôtels et appart-hôtels en leur octroyant une aide exceptionnelle.
Concrètement, les hôtels et appart-hôtels bruxellois pourront bénéficier, sous certaines conditions, d’une aide régionale allant jusqu’à 200.000 euros par établissement et 800.000 euros maximum par entreprise :
- hébergement touristique d’une capacité maximale de 18 unités d’hébergement : prime forfaitaire de 20 000 euros ;
- logements touristiques d’une capacité de plus de 18 unités d’hébergement : 1 100 euros par chambre d’hôtel ou autre unité d’hébergement, limités à 200 000 euros par hôtel ou appart-hôtel ;
- Et ce pour un maximum de 800 000 euros par entreprise et une seule demande par entrepreneur.
Pour pouvoir bénéficier de cette prime, les opérateurs doivent remplir plusieurs conditions dont
- être en règle avec la publication de leurs comptes annuels à la Banque nationale de Belgique (BNB) ;
- répondre à un certain nombre de critères de santé financière;
- ne pas avoir de dettes fiscales ou de sécurité sociale impayées au moment de la demande d’aide ;
- ne pas avoir le statut d’entreprise en difficulté au 31 décembre 2019;
- ne pas avoir reçu d’aide supérieure à 800 000 euros au titre du point 22 du cadre temporaire, y compris la prime visée dans le décret sur l’industrie hôtelière ;
- ne pas avoir licencié ou mis au rebut collectivement des employés entre le 23 mars et le 31 décembre 2020.
Le formulaire de demande sera disponible à partir du 26 octobre. La demande doit être introduite au plus tard le 13 novembre via le site internet de Bruxelles Économie et Emploi et IRISbox.
La prime accordée sera versée en une seule fois dès que possible. La décision d’attribution sera notifiée au plus tard le 31 décembre 2020.
Plus d’infos et conditions sur http://werk-economie-emploi.brussels/fr/
Digitalcity.brussels : nouvel outil de la relance économique de Bruxelles

Digitalcity.brussels : nouvel outil de la relance économique de Bruxelles
communiqué de presse
21 octobre 2020
Bruxelles, le 21 octobre 2020 –Que l’on soit à la recherche d’un collaborateur, d’un emploi ou d’une formation, Digitalcity.brussels devient la référence dès lors que l’on évolue dans le secteur IT. Plus de 2 500 m², 17 salles de cours et une équipe de 25 experts pour former les talents de demain et anticiper les besoins RH des entreprises.
Une étude de view.brussels, parue début 2020, indique que les trois profils les plus recherchés sur le marché de l’emploi bruxellois sont : analyste-programmeur, technicien helpdesk et consultant informatique. Par ailleurs, la liste des métiers en pénurie compte de nombreuses fonctions liées à l’IT. Ajoutons à cela la crise sanitaire qui a accéléré la digitalisation de toutes nos entreprises publiques et privées, tous secteurs confondus. Par conséquent, les besoins en profils IT vont être de plus en plus élevés sur le marché de l’emploi. Agoria estime d’ailleurs que la digitalisation de notre société va entraîner la création de 800 000 postes de travail.
Seulement, en Région bruxelloise, un paradoxe sévit. D’une part, la Région est le principal bassin d’emplois du pays, souvent hautement qualifiés. D’autre part, Bruxelles connaît un taux de chômage important. Dès lors, comment faire pour que l’offre et la demande d’emploi se rencontrent ?
De l’importance de talents formés
Bruxelles, c’est aussi la capitale des PME. La création de start-ups et de petites entreprises, surtout dans le domaine des technologies, est en pleine explosion. Une étude de start-up.be indique que, depuis 2010, plus de 400 entreprises actives dans le secteur numérique se sont établies en Région bruxelloise, créant plus de 3.000 emplois. Et selon le même rapport, le recrutement reste le plus grand challenge de ces startups.
D’après un rapport d’Agoria de 2018, intitulé « la digitalisation et le marché du travail belge[1] », si aucune solution n’est mise en place, « l’écart entre l’offre et la demande se creusera encore jusqu’en 2030 ».
Par ailleurs, il apparaît que la chasse aux compétences digitales ne soit plus l’apanage des seules entreprises tech. Aujourd’hui, les recruteurs sont à la recherche de candidats de plus en plus polyvalents. On demande désormais aux employés d’avoir des compétences en droit, en communication, en management… et bien sûr dans la sphère numérique, provoquant une véritable guerre des talents.
Un Pôle Formation Emploi dédié aux métiers IT, au cœur du développement de la Région
Pour faire face à un besoin de main d’œuvre grandissant, accéléré par la crise du Covid-19, la Région bruxelloise a décidé de miser sur une structure unique et inédite rassemblant, d’une part, le secteur professionnel et, d’autre part, les services publics de l’emploi et de la formation. Voici le Pôle Formation Emploi des métiers du numérique : Digitalcity.brussels.
Ce Pôle Formation Emploi constitue le trait d’union physique, mais aussi numérique, actuellement manquant, entre services publics et monde économique.
Porté par plusieurs partenaires, Digitalcity.brussels est une entité unique qui rassemble les forces vives d’Actiris, de Bruxelles Formation, du VDAB Brussel, du Consortium de la Validation des Compétences, et du secteur professionnel au profit des Bruxellois, qu’ils soient chercheurs d’emploi, travailleurs ou entrepreneurs.
Non seulement Digitalcity.brussels devra former les talents aux compétences actuellement recherchées sur le marché de l’emploi, mais il devra aussi anticiper les besoins des entreprises. En effet, les métiers du numérique sont en constante évolution et nécessitent des mises à jour ou des remises à niveau tout au long d’une carrière professionnelle.
Digitalcity.brussels est constitué de trois piliers: le pilier Sectoriel Recherche & Développement, le pilier Formation & Validation des Compétences et le pilier Emploi. Il mène donc aussi bien des actions de formation, d’emploi, d’identification et de validation des compétences que des actions de collaborations renforcées avec l’enseignement, de sensibilisation aux métiers du secteur IT et de promotion de leur image. Digitalcity a également parmi ses missions la veille sectorielle du marché de l’emploi et des qualifications requises. .
« La crise est un accélérateur de tendance. La plus forte d’entre elle est la digitalisation de tous les aspects de notre société. Seulement, en Région bruxelloise, nous avons décidé de ne pas seulement assister à cette véritable ruée vers le digital mais de faire en sorte que les Bruxellois en soient des acteurs. Digitalcity.brussels ambitionne de devenir la référence en matière de métiers numériques à Bruxelles et s’adresse à ceux qui veulent se lancer ou se spécialiser dans le secteur. L’accent sera évidemment mis sur la formation : nous devons proposer des formations de pointe afin de devenir un interlocuteur crédible », déclare Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois de l’Emploi et de la Formation.
« Que de chemin parcouru depuis la création de l’asbl Brutec dans les années 1980 ! Aujourd’hui, le CDR Evoliris cède la place au Pôle Digitalcity. Un nouveau pôle qui voit le jour d’abord et avant tout, grâce à la conclusion en février dernier du premier accord-cadre entre mon Gouvernement, le Collège de la Commission communautaire française et les partenaires sociaux du domaine des métiers du numérique. Par cet accord, nous voulons insuffler notre volonté commune d’entrer, à travers un sigle unique, dans une nouvelle perspective de coopération bien comprise : celle d’une mutualisation de ressources et moyens au service des Citoyens bruxellois, quels qu’ils-elles soient : chercheur d’emploi, employeur, formatrice ou encore apprentie ! », explique Rudi Vervoort Ministre-Président bruxellois
« Réunir les partenaires publics et privés du secteur va permettre de regrouper les compétences d’une vingtaine d’experts dans leur domaine et de proposer en un seul lieu une offre de services riche en développement de compétences numériques. Les collaborations entre nos équipes pour, notamment, accompagner les chercheurs d’emploi avant, pendant et après leur formation améliorera encore les résultats de même que le travail de veille et de vitrine auprès des entreprises assuré par le secteur. Digitalcity.brussels constitue donc le cadre idéal pour développer et transmettre une dynamique positive, innovante et ambitieuse pour les Bruxellois et Bruxelloises », affirme Olivia P’tito, Directrice générale de Bruxelles Formation.
« A l’heure où notre société a subitement basculé dans le digital, se former aux métiers du numérique est quasiment une garantie d’emploi. J’encourage les chercheuses et les chercheurs d’emploi qui hésitent encore à se lancer dans l’aventure. De même que j’invite les employeurs à faire appel à ce nouveau service afin qu’il réponde au mieux à ses besoins. Ce sont toutes les nouvelles solutions que nous trouverons pour Bruxelles qui, ensemble, nous permettront de faire face à la crise », explique Grégor Chapelle, Directeur général d’Actiris.
« La création du pôle Digitalcity s’inscrit pleinement dans la vision d’avenir du VDAB. La mise en place d’infrastructures communes, ciblant aussi bien les demandeurs d’emploi que les employés et les étudiants, est à nos yeux la voie de l’avenir. Le fait que des formations soient organisées au sein de Digitalcity en fonction des besoins concrets des employeurs est essentiel pour le secteur des TIC. Le VDAB ne fournit pas de formations aux TIC, mais nous plaçons toutes nos formations virtuellement dans le pôle Digitalcity et nos organisations partenaires ont tout le loisir d’organiser des formations sur cette magnifique infrastructure dernier cri de Digitalcity », conclut Geert Pauwels, directeur du VDAB Brussel.
« Digitalcity.brussels, de par sa mission de point central numérique, répond aux attentes des entreprises d’un point de vue formation et information. Digitalcity.brussels doit devenir la plate-forme des projets numériques bruxellois, de la mise à disposition de son infrastructure à la mise sur pieds d’opportunités de partenariats publics-privé. Digitalcity.brussels c’est aussi l’endroit idéal pour permettre aux entreprises de trouver du personnel qualifié, de former leurs (futurs) employés ou d’offrir plus de visibilité à leurs projets, produits ou services. », déclare Jean-Pierre Rucci, Directeur général de Digitalcity.brussels.
En savoir plus
Situé à Auderghem, à proximité immédiate des campus de l’ULB et de la VUB avec lesquels Digitalcity.brussels souhaite développer de nouvelles collaborations, le bâtiment compte cinq niveaux et comprend, notamment :
- Un auditoire de 100 places ;
- Une quinzaine de salles équipées ;
- Un studio digital media ;
- Un laboratoires CISCO dédié aux technologies réseau ;
- Un laboratoire destiné à accueillir les épreuves de certification et de validation des compétences ;
- Un espace de plus de 100 m² destiné à accueillir les activités d’Actiris en matière de mise à l’emploi.
[1] La digitalisation et le marché du travail belge. Shaping the future of work, Agoria, 2018
Deux lauréats bruxellois pour le Label d’Utilité Publique 2021

Deux lauréats bruxellois pour le Label d’Utilité Publique 2021
communiqué de presse
20 octobre 2020
Depuis 2015 et sa création, le Label d’Utilité Publique a pour objectif de récompenser des pièces de théâtre de qualité dont le sujet traite d’une thématique d’actualité ou de société mais aussi d’attirer les publics à la culture et de créer des débats. Dans ce cadre, l’équipe artistique du projet met en œuvre des animations en amont des représentations afin de renforcer l’accès à la culture pour toutes et tous.
Cette année, deux nouveaux spectacles recevront le Label d’Utilité Publique et seront ainsi récompensés pour leur travail. Sur proposition d’un jury composé de personnalités venant de différents milieux liés à la culture et à la médiation, le Gouvernement Francophone Bruxellois, a désigné comme lauréats de cette édition 2020 : «Pourquoi Jessica a-t-elle quitté Brandon?» de la compagnie M.A.P.S et «In Solidum» de l’asbl RAVIE.
Le projet de la compagnie M.A.P.S., spectacle brillant porté par Emmanuel de Candido et Pierre Solot, aborde notre rapport aux nouvelles technologies. Tandis que «In Solidum» de l’asbl RAVIE nous parle de notre conscience citoyenne face à la cybercriminalité. Une création réunissant cinq jeunes comédiens (Siam De Muylder, Manoël Dupont, Arthur Goldberg, Jérémy Lamblot, Léopold Terlinden) autour de ce projet collectif.
Chaque lauréat recevra une subvention de 30.000€ en 2021 pour mener à bien des animations pour tout public. Cette aide pourra être prolongée d’un montant de 10.000 € en 2022 pour poursuivre les activités de médiation culturelle entreprises lors de leur année de labellisation.
« Je tiens à féliciter chaleureusement les lauréats pour ce prix mérité. Ces spectacles portés par deux jeunes compagnies bruxelloises abordent des sujets devenus incontournables dans notre société actuelle tels que le numérique et notre attitude citoyenne face à son développement. Des questions d’autant plus pertinentes avec la crise sanitaire que nous traversons, durant laquelle la majorité des personnes se retrouvent recluse derrière des écrans. Il y a un impératif de soutenir des spectacles qualitatifs et révélateurs d’enjeux de société», déclare Rudi Vervoort, Ministre-Président bruxellois, en charge de la culture.
En 2021, le label fera peau neuve et deviendra le Label I.M.P.A.C.T. Un nouveau nom qui traduit ses principales valeurs: Inclusion, Médiation culturelle, Publics, Accessibilité, Culture et Thématique. Un projet de règlement, déposé par Rudi Vervoort, sera débattu au Parlement dans les semaines à venir. L’objectif est de pérenniser ce programme important qui permet non seulement de faire le lien entre la scène et la société mais aussi à chacun.e de pousser les portes d’un théâtre.
Cette intention s’inscrit dans une politique culturelle incluant cohésion sociale, éducation permanente et diversité culturelle. Une culture qui réunit des publics diversifiés autour d’enjeux majeurs en privilégiant la rencontre et l’échange.
Pour la prochaine édition et le Label I.M.P.A.C.T. 2022, les candidatures seront ouvertes dès le 1er novembre 2020.
Plus d’informations : https://label-up.ccf.brussels/
Usquare.brussels : la Région délivre deux permis d’urbanisme à la SAU et aux universités ULB et VUB

Usquare.brussels : la Région délivre deux permis d’urbanisme à la SAU et aux universités ULB et VUB
communiqué de presse
15 octobre 2020
Usquare.brussels, le programme de redéploiement de l’ancienne caserne Fritz Toussaint à Ixelles, vient de franchir une étape importante : la Région de Bruxelles-Capitale a délivré les permis d’urbanisme pour la première opération de rénovation et de réaffectation de bâtiments emblématiques du site.
Le premier permis a été délivré à la Société d’Aménagement Urbain (sau-msi.brussels) pour la rénovation et la reconversion de l’ancien Manège en une halle axée sur l’alimentation durable.
Le second permis a été délivré aux universités ULB et VUB pour la rénovation et la réaffectation des bâtiments situés à front du boulevard Général Jacques en équipements universitaires et en logements pour des chercheurs.
Les permis d’urbanisme font partie du projet d’ensemble de reconversion de l’ancienne école de gendarmerie, qui est coordonné par la SAU. Elles contribueront à la mise en valeur du patrimoine du site et à la stratégie d’économie circulaire, deux axes essentiels du développement de Usquare.brussels.
Le projet bénéficie d’un important soutien financier du Fonds européen de développement régional (FEDER). Il s’agit des budgets supplémentaires libérés par la Région de Bruxelles-Capitale pour les universités ULB et VUB. Le subside FEDER est financé à parts égales par l’Union Européenne et la région bruxelloise.
Le subside FEDER est affecté de la manière suivante :
- 1.391.398,10 euros pour la reconversion du Manège.
- 9.033.200 euros pour la reconversion des bâtiments situés à front du boulevard Général Jacques.
La délivrance des deux permis d’urbanisme pose en effet les premiers jalons dans le développement du site des anciennes Casernes, le projet Usquare.brussels piloté par la SAU, tout d’abord par la rénovation et la reconversion du Manège mais aussi par la rénovation des équipements universitaires porté conjointement par l’ULB et la VUB. L’ambition de la Région bruxelloise est de proposer un quartier multifonctionnel exemplaire au niveau technique (économie circulaire, performance énergétique, patrimoine, etc.) mais aussi au niveau du vivre ensemble. Relevons que 3.000 tonnes de CO2 seront économisées par an grâce aux travaux financés par le Programme FEDER.
S’agissant du pôle universitaire innovant, il ambitionne d’offrir :
- un centre de recherche international : premier Institut d’études avancées en Belgique (destinés aux chercheurs internationaux)
- un espace « Citizen and participative Science »
- une maison d’accueil internationale
- un centre de recherche interuniversitaire pour « Urban Research ».
Rudi Vervoort, le Ministre-Président de la Région de Bruxelles-Capitale, se félicite « Le rôle du FEDER est une nouvelle fois crucial dans la stratégie de redéploiement territorial à Bruxelles puisqu’il permet le financement de la première phase du redéploiement du site des casernes consacré aux équipements universitaires, partagés et collectifs. Notre ambition est de transformer un site historiquement fermé et entouré d’un mur d’enceinte, en un nouveau quartier ouvert et mixte, universitaire et international mais aussi durable et innovant. Ce lieu dynamique et convivial répondra aux besoins des Bruxellois, et singulièrement des riverains, tout en accueillant un ambitieux projet d’envergure internationale porté conjointement par l’ULB et la VUB. »
Pascal Smet, le Secrétaire d’État régional bruxellois en charge de l’Urbanisme, annonce « En délivrant ces permis nous permettons d’avancer dans la mutation de notre ville. Une nouvelle vie va voir le jour sur le site des anciennes casernes. En y implantant du logement, un centre de recherche universitaire et une halle alimentaire nous démontrons l’importance de la mixité des fonctions. A l’image de l’occupation temporaire SeeU qui est un franc succès.»
Gilles Delforge, le directeur de la SAU, explique que « l’obtention de ces deux permis va permettre d’enclencher très concrètement et de manière très visible pour le grand public le développement opérationnel de Usquare.brussels. Le début des travaux de reconversion du Manège est prévu d’ici l’automne 2021. Concrètement, sans changer ce bâtiment emblématique, la SAU va d’abord procéder à des travaux de restauration concernant le gros œuvre fermé, afin de développer ensuite la mise en exploitation de la halle alimentaire. Cette halle sera à terme et sans aucun doute un des programmes phares de Usquare.brussels tout en constituant un équipement partagé très utile pour les habitants des quartiers voisins du site ».
Annemie Schaus, la rectrice de l’ULB, souligne la dimension internationale et la volonté d’exemplarité du projet des deux universités bruxelloises. « Sur le site d’Usquare.brussels, l’ULB et la VUB concrétisent encore un peu plus leur dynamique de partenariat au service de Bruxelles et de ses habitants. Grâce au soutien du FEDER, nos deux universités y développeront des centres de recherche axés sur la question du développement durable, permettant ainsi de répondre de manière concrète aux défis posés en milieu urbain, en particulier à Bruxelles. Nous accueillerons également plusieurs centaines d’étudiants internationaux sur ce site, en faisant un pôle d’accueil et de mixité culturelle. »
Caroline Pauwels, la rectrice de la VUB, «Nous sommes très heureux de ces permis. Avec Usquare.brussels, nous voulons démolir durablement les murs. Entre chercheurs et étudiants de la VUB, de l’ULB et de partout dans le monde, mais aussi localement, entre les universités et les habitants du quartier. Notre ambition est de faire d’Usquare un quartier universitaire qui crée du lien. Avec les logements prévus pour les étudiants, les chercheurs et les conférenciers invités, nous souhaitons faire de Usquare.brussels un hub international, où les chercheurs peuvent se rencontrer dans un environnement stimulant. Avec ces permis, nous pouvons passer à l’étape suivante pour réaliser cette ambition ».

La région bruxelloise soutient désormais le hockey pour promouvoir son image

La région bruxelloise soutient désormais le hockey pour promouvoir son image
communiqué de presse
14 octobre 2020
La Région de Bruxelles-Capitale a accordé 3,5 millions d’euros de subventions à environ 200 associations sportives bruxelloises s’adressant aux jeunes pour la saison 2020-2021. Les projets sélectionnés doivent contribuer à l’image nationale et internationale de la Région. Ils devraient renforcer une identité typiquement bruxelloise de solidarité, d’émancipation, d’intégration et de diversité.
Bien que, de manière générale, la politique sportive relève de la compétence des communautés, elle peut aussi être un levier pour promouvoir l’image de la Région de Bruxelles-Capitale, le développement de son identité et la revalorisation urbaine.
Le ministre bruxellois Sven Gatz est, avec le Premier ministre Rudi Vervoort, responsable de l’image de Bruxelles. « D’autant plus que la crise du Covid-19 affecte gravement l’environnement sportif, certaines disciplines comme les sports de contact étant particulièrement touchées, le soutien via les moyens régionaux aux associations sportives bruxelloises est le bienvenu », selon le ministre. « Les amateurs de sport et les supporters aiment leur club et associent cet amour du club à la fierté de leur ville. Quoi de mieux que des jeunes qui jouent un match d’équipe contre équipe, pour l’honneur de leur club et de leur ville ? C’est pourquoi je suis fier de pouvoir soutenir quelque 200 clubs sportifs bruxellois et d’accueillir les grands clubs de hockey de Bruxelles dans les clubs qui font briller notre région au plus haut niveau ».
Le ministre-président bruxellois Rudi Vervoort : « Le sport aide les jeunes à prendre confiance en eux, mais aussi à acquérir les valeurs du sport telles que l’esprit d’équipe, la persévérance, la discipline et le fair-play. Mon gouvernement considère qu’il est important de soutenir des projets qui contribuent au développement et à l’émancipation de nos jeunes bruxellois. »
L’appel à projets porte sur la possibilité de construire une identité bruxelloise à travers un club et ses activités et de contribuer à une image positive de la Région de Bruxelles-Capitale, tant à Bruxelles qu’en dehors.
Dynamic.brussels
Par exemple, la région doit être explicitement mentionnée sur l’infrastructure du club, dans les communications effectuées et sur l’équipement des joueurs. Elle doit donc se présenter comme un club bruxellois. La priorité est accordée aux projets qui remplissent cette condition de manière satisfaisante. En outre, les associations sélectionnées recevront un dossier de promotion de dynamic.brussels afin de promouvoir le city marketing de la Région et de mettre en valeur l’identité visuelle du programme.
En 2020, l’administration a reçu 280 demandes de projets. Parmi ceux-ci, 81 ont été rejetés parce qu’ils ne répondaient pas à un ou plusieurs critères. Les projets sélectionnés peuvent être divisés en trois groupes. Le premier groupe de projets est constitué d’initiatives de clubs sportifs actifs dans les divisions européennes et les première, deuxième ou troisième divisions nationales de leur discipline. Il s’agit donc d’actions menées par des clubs qui ont un impact international et national sur l’image de la région.
Hockey
Jusqu’à présent, ce groupe se composait des sports traditionnels les plus populaires comme le football et le basket-ball. Cette année, le hockey sera ajouté pour la première fois. Le hockey est indéniablement une discipline sportive qui fait briller la Région de Bruxelles-Capitale au niveau national et international. En raison de ses résultats et du nombre croissant de jeunes qui s’adonnent à ce sport chaque année, il est devenu une partie importante de l’ADN bruxellois et contribue ainsi à façonner l’identité typiquement bruxelloise. Ce groupe compte 20 projets pour un montant total subventionné de 1.274.500 euros.
Le deuxième groupe concerne les projets à caractère régional ou supra-local. Il s’agit de collaborations entre clubs et/ou associations dont la portée dépasse le niveau d’un club amateur et qui ont un impact sur une plus longue période. Ce groupe compte 21 initiatives, qui représentent ensemble un budget de 875 500 euros.
Enfin, le troisième groupe est constitué de projets basés sur des clubs d’amateurs et des initiatives locales organisant des activités sportives pour les jeunes. Un montant total de 1 350 000 euros est octroyé à ces 158 projets sélectionnés.
La liste des projets subventionnés est jointe en annexe: Les projets subventionnés Sport.pdf – 175 KB
Covid-19 : La Région bruxelloise prolonge son soutien au secteur de la culture

Covid-19 : La Région bruxelloise prolonge son soutien au secteur de la culture
communiqué de presse
13 octobre 2020
Bruxelles, le 13 octobre 2020 – Le secteur de la culture a été très fortement touché par la crise du coronavirus et en subit encore les conséquences aujourd’hui. Afin d’aider non seulement les structures du secteur mais également leurs travailleurs, le gouvernement bruxellois avait instauré, cet été, deux aides exceptionnelles. Mais la crise sanitaire perdure, le gouvernement bruxellois a donc validé, lors de sa séance du 12 octobre, la prolongation de ses deux mesures.
En juillet dernier, le gouvernement bruxellois était l’un des premiers à venir en aide au secteur de la culture, largement impacté par la crise du Covid-19. D’une part, les organisation culturelles et créatives ont pu bénéficier d’une prime régionale de 2.000€. Et, d’autre part, les travailleurs intermittents du secteur, ont pu jouir d’une aide allant jusqu’à 1.500€, plafonnée en fonction des revenus perçus.
Pour la première prime, on recense 290 demandes effectuées auprès de l’administration et 246 structures ont pu bénéficier de la prime de 2.000€ pour un montant total de 492.000€.
Le gouvernement bruxellois a décidé d’octroyer automatiquement à ces 246 structures une nouvelle prime de 2.000€. Pour celles qui n’en auraient pas encore bénéficier, une demande peut être introduite auprès de Bruxelles Economie et Emploi et celles-ci percevront une prime de 4.000€.
En ce qui concerne la seconde prime, destinée à soutenir les intermittents du secteur de la culture risquant de tomber dans la pauvreté, on dénombre 1.572 décisions d’octroi pour un montant total de 1.538.000€.
Le gouvernement bruxellois a décidé de prolonger cette mesure et d’en augmenter les forfaits.
- 2.000 € maximum pour les travailleurs ayant bénéficié entre le 1er juin et le 30 septembre 2020 de revenus s’élevant à maximum 3.000€ nets
- 1.500€ maximum pour les travailleurs ayant bénéficié entre le 1er juin et le 30 septembre 2020 de revenus s’élevant à maximum 4.000€ nets
- 1.000€ maximum pour les travailleurs ayant bénéficié entre le 1er juin et le 30 septembre 2020 de revenus s’élevant à maximum 5.000€ nets
Toutefois, une demande devra être introduite sur le site actiris.brussels
« La culture, c’est tout ce qui fait que Bruxelles est Bruxelles. Il est important d’en soutenir les principaux acteurs, les structures mais aussi les travailleurs. J’espère que la prolongation de ces aides pourra être une nouvelle bouffée d’air frais leur permettant de développer leur créativité au profit de la culture bruxelloise », déclare Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois de l’Emploi.
« En cette période difficile, la Région bruxelloise vient en soutien du secteur culturel et artistique parce qu’il est un des poumons de notre vie régionale. Sans ce secteur diversifié et foisonnant, notre ville pourrait perdre son âme. Par ces aides uniques en Belgique, nous prenons la mesure de ce que ces secteurs apportent à notre Région », explique Rudi Vervoort, Ministre-Président bruxellois.
« La culture est un élément crucial de notre société. La crise corona a fait des ravages parmi d’innombrables intermittents du secteur de la culture et organisations culturelles qui ne se sont pas livrés à des activités culturelles principalement à des fins commerciales. Des pigistes aux artistes individuels occasionnels, des musiciens, metteurs en scène, danseurs et chanteurs aux travailleurs auxiliaires du secteur culturel, ils représentent tous une partie essentielle de notre délicieuse mayonnaise culturelle bruxelloise. C’est pourquoi je suis satisfait de cette mesure d’aide », déclare Sven Gatz, ministre bruxellois du Budget.









